L'artiste franco-tunisien Bilal Berreni a été retrouvé mort à Détroit, dans le Michigan, aux Etats-Unis, a rapporté le Detroit Free Press vendredi 28 mars.
D'après le média américain, le jeune street artiste a été abattu d'une balle en pleine tête, l'été dernier. Sa famille n'avait plus de nouvelles de lui depuis près d'un an. Sa dépouille retrouvée fin juillet n'avait pas été identifiée jusque là.
Le père de la victime, interrogé par le Detroit Free Press a indiqué que son fils n'était "peut-être" pas né au bon moment, "il appartenait à un siècle passé, il avait besoin de découvrir le monde et ses vérités et découvrir toutes les choses qui donnent un sens à ce monde".
Avant d'aller vivre à Detroit, Bilal Berreni avait passé un mois dans une cabane au nord de la Suède. Comme l'explique son père "Bilal n'a pas peur du danger, il appartient à ces chevaliers qui vivaient sans crainte."
En mars 2011, Bilal Berreni ou Zoo project, avait rejoint la Tunisie comme le rapporte le journal Le Monde qui l'avait suivi lors de son parcours après les évènements du 14 janvier.
Le jeune Bilal alors âgé de 20 ans avait peint sur les murs le portrait en pied et grandeur nature des martyrs à Tunis et était allé au camp de Choucha pour dessiner des réfugiés mais aussi pour leur apprendre à peindre. Ces actions venant de son envie absolue de "sentir le vent de la révolution".
D'après le média américain, le jeune street artiste a été abattu d'une balle en pleine tête, l'été dernier. Sa famille n'avait plus de nouvelles de lui depuis près d'un an. Sa dépouille retrouvée fin juillet n'avait pas été identifiée jusque là.
Le père de la victime, interrogé par le Detroit Free Press a indiqué que son fils n'était "peut-être" pas né au bon moment, "il appartenait à un siècle passé, il avait besoin de découvrir le monde et ses vérités et découvrir toutes les choses qui donnent un sens à ce monde".
Avant d'aller vivre à Detroit, Bilal Berreni avait passé un mois dans une cabane au nord de la Suède. Comme l'explique son père "Bilal n'a pas peur du danger, il appartient à ces chevaliers qui vivaient sans crainte."
En mars 2011, Bilal Berreni ou Zoo project, avait rejoint la Tunisie comme le rapporte le journal Le Monde qui l'avait suivi lors de son parcours après les évènements du 14 janvier.
Le jeune Bilal alors âgé de 20 ans avait peint sur les murs le portrait en pied et grandeur nature des martyrs à Tunis et était allé au camp de Choucha pour dessiner des réfugiés mais aussi pour leur apprendre à peindre. Ces actions venant de son envie absolue de "sentir le vent de la révolution".
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