L'émir du Qatar, cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani, se rend mercredi au Soudan dans le cadre d'une tournée arabe devant le conduire ensuite en Algérie et en Tunisie, a annoncé mardi l'agence de presse officielle QNA.
Cette tournée de cheikh Tamim, qui a été précédée d'une visite dimanche en Jordanie, intervient alors que son pays a été mis à l'index par ses voisins arabes du Golfe qui le soupçonnent de chercher à les déstabiliser.
L'émir veut "consolider les relations fraternelles" qui lient son pays au Soudan, à l'Algérie et à la Tunisie et se concerter avec les dirigeants de ces pays sur "des questions d'intérêt commun", a indiqué l'agence QNA sans plus de détails.
Les relations du Qatar sont tendues avec les Emirats arabes unis, l'Arabie saoudite et Bahreïn depuis le rappel le 5 mars par ces trois pays, des partenaires au sein du Conseil de coopération du Golfe (CCG), de leurs ambassadeurs à Doha, reprochant au Qatar de soutenir les islamistes dans le monde arabe et de chercher à déstabiliser les pays voisins.
Le Qatar s'est rangé ouvertement du côté des Frères musulmans, réprimés en Egypte après avoir été chassés du pouvoir, tandis que les trois autres pays ont apporté un soutien massif tant politique que financier au pouvoir mis en place par l'armée au Caire.
Cette tournée de cheikh Tamim, qui a été précédée d'une visite dimanche en Jordanie, intervient alors que son pays a été mis à l'index par ses voisins arabes du Golfe qui le soupçonnent de chercher à les déstabiliser.
L'émir veut "consolider les relations fraternelles" qui lient son pays au Soudan, à l'Algérie et à la Tunisie et se concerter avec les dirigeants de ces pays sur "des questions d'intérêt commun", a indiqué l'agence QNA sans plus de détails.
Les relations du Qatar sont tendues avec les Emirats arabes unis, l'Arabie saoudite et Bahreïn depuis le rappel le 5 mars par ces trois pays, des partenaires au sein du Conseil de coopération du Golfe (CCG), de leurs ambassadeurs à Doha, reprochant au Qatar de soutenir les islamistes dans le monde arabe et de chercher à déstabiliser les pays voisins.
Le Qatar s'est rangé ouvertement du côté des Frères musulmans, réprimés en Egypte après avoir été chassés du pouvoir, tandis que les trois autres pays ont apporté un soutien massif tant politique que financier au pouvoir mis en place par l'armée au Caire.
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