Les Octaves de la musique 2014, ont été décernés le 8 avril à Liège (Belgique).
Sans grande surprise, Stromae figure parmi les lauréats de cette cérémonie, considérée comme l'équivalent des Victoires de la musique en France. A ses côtés, l’acteur et chanteur tunisien Jawhar Basti, qui remporte l’Octave "Musiques du monde".
Vivant en Belgique depuis plusieurs années, Jawhar est surtout connu pour avoir joué dans les pièces de théâtre "Hobb Story" et "Macbeth: Leïla and Ben - A bloody history" (dans le rôle de Ben Ali).
Son autre passion, c’est la musique. Après avoir sorti son premier album "When rainbows call, my rainbows fly" en 2004, fusionnant jazz et folk sur des sonorités arabes, il réitère fin 2013.
Cette fois-ci, l’album "Qibla wa qobla" résonne comme un retour aux sources, avec par exemple la chanson "Allemni":
Une première récompense dont il est évidemment très fier:
"Parvenir à écrire une chanson en arabe qui raconte quelque chose à un public ‘occidental’ mais aussi à mes compatriotes arabe est quand même une autre satisfaction."
Sans grande surprise, Stromae figure parmi les lauréats de cette cérémonie, considérée comme l'équivalent des Victoires de la musique en France. A ses côtés, l’acteur et chanteur tunisien Jawhar Basti, qui remporte l’Octave "Musiques du monde".
Vivant en Belgique depuis plusieurs années, Jawhar est surtout connu pour avoir joué dans les pièces de théâtre "Hobb Story" et "Macbeth: Leïla and Ben - A bloody history" (dans le rôle de Ben Ali).
Son autre passion, c’est la musique. Après avoir sorti son premier album "When rainbows call, my rainbows fly" en 2004, fusionnant jazz et folk sur des sonorités arabes, il réitère fin 2013.
Cette fois-ci, l’album "Qibla wa qobla" résonne comme un retour aux sources, avec par exemple la chanson "Allemni":
"Pour cette chanson, j’avais envie de m’inspirer d’un style extrêmement populaire en Tunisie, presque mal vu: le mezoued, qui se joue avec une cornemuse et des percussions. Dans les soirées un peu mal famées. Ce sont souvent des gars torchés qui sont au micro, des voix pas très justes, pas très académiques, assez rauques, explique Jawhar au site belge Le Soir. Ça reste l’une des rares musiques populaires à avoir survécu, quand d’autres sont devenues des cartes postales. Le mezoued n’a pas lieu d’exister officiellement quoi, même si c’est en train de changer…".
Une première récompense dont il est évidemment très fier:
"Parvenir à écrire une chanson en arabe qui raconte quelque chose à un public ‘occidental’ mais aussi à mes compatriotes arabe est quand même une autre satisfaction."
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