L’élection présidentielle syrienne du 3 juin 2014 compte 6 nouveaux candidats de dernière minute à près de 24h de la clôture des dépôts de candidature d’après l’annonce du président du parlement, Mohammed al-Lahham.
Ces 6 nouveaux noms portent le total du nombre de postulants à 17, dont le président en titre depuis 14 ans, Bachar al-Assad.
Parmi ces candidats, cinq sont originaires de Damas, trois de la banlieue de la capitale, deux de la province de Homs, un d'Alep, un de la région d'Idleb, deux du plateau du Golan, une de Lattaquié, un de la province de Deraa et un de Deir Ezzor.
Cette élection constitue une première depuis la prise de pouvoir du père de Bachar al-Assad, Hafez, en 1970.
La nouvelle Constitution approuvée en 2012 donne pour la première fois la possibilité à plusieurs candidats de se présenter mais en posant comme condition le fait d’avoir résidé en Syrie de manière continue ces dix dernières années ce qui exclut de fait l’opposition en exil.
Ce scrutin est d’ores et déjà qualifié de "farce" par l’opposition et plusieurs pays occidentaux.
Ces 6 nouveaux noms portent le total du nombre de postulants à 17, dont le président en titre depuis 14 ans, Bachar al-Assad.
Les 17 candidats à la présidentielle syrienne: Bachar al-Assad, Ali Wanous, Talea Salah Nasser, Azza al-Hallak, Samih Mikhael Moussa, Mahmoud Halbouni, Mohammad al-Kanaan, Ahmad al-Abboud, Khaled al-Kreidi, Bachir al-Ballah, Aymane al-Issa, Sawsan Haddad, Samir Maala, Mohammad Firas Rajjouh, Abdel-Salam Salamé, Hassan Abdallah al-Nouri, Maher al-Hajjar.
Parmi ces candidats, cinq sont originaires de Damas, trois de la banlieue de la capitale, deux de la province de Homs, un d'Alep, un de la région d'Idleb, deux du plateau du Golan, une de Lattaquié, un de la province de Deraa et un de Deir Ezzor.
Cette élection constitue une première depuis la prise de pouvoir du père de Bachar al-Assad, Hafez, en 1970.
La nouvelle Constitution approuvée en 2012 donne pour la première fois la possibilité à plusieurs candidats de se présenter mais en posant comme condition le fait d’avoir résidé en Syrie de manière continue ces dix dernières années ce qui exclut de fait l’opposition en exil.
Ce scrutin est d’ores et déjà qualifié de "farce" par l’opposition et plusieurs pays occidentaux.
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