Au moins 18 civils, dont 11 enfants, ont été tués vendredi dans deux attentats à la voiture piégée dans deux localités contrôlées par le régime de la province de Hama, dans le centre de la Syrie, a rapporté l'agence officielle Sana.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), les localités visées, Jibrine et al-Houmeiri, sont alaouites, minorité religieuse à laquelle appartient le président syrien Bachar al-Assad.
Un double attentat avait déjà frappé mardi un quartier alaouite à Homs, troisième ville de Syrie, faisant au moins 100 morts, en majorité des civils.
Ces explosions meurtrières interviennent à un mois de la présidentielle du 3 juin qui doit être organisée dans les zones tenues par le régime et devrait aboutir sans surprise à la réélection de M. Assad.
Selon Sana, les attentats de Hama ont été menés par deux "terroristes", reprenant le terme employé par le régime pour désigner les rebelles.
"Un terroriste a fait exploser une voiture piégée au centre de la localité de Jibrine, dans le sud-ouest de le province de Hama, tuant 17 civils dont 11 enfants et blessant plus de 50 personnes", a indiqué l'agence, en précisant que l'attentat avait endommagé plusieurs bâtiments.
Le deuxième attentat suicide, qui a eu à al-Houmeiri, a fait un mort, d'après Sana. L'OSDH a fait état de son côté de 15 morts, précisant que l'attentat de Houmeiri s'était produit près d'un poste de police.
Par ailleurs, Le chef d'Al-Qaïda Ayman al-Zawahri a ordonné à la branche syrienne du réseau extrémiste, le Front Al-Nosra, de cesser de combattre les autres jihadistes dans ce pays, dans un nouvel enregistrement sonore mis en ligne vendredi sur des sites islamistes.
Les jihadistes du Front Al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda, avaient revendiqué le double attentat de mardi à Homs, à Abbassiya, un quartier alaouite contrôlé par le régime. Ils avaient indiqué dans un communiqué qu'il s'agissait de représailles aux bombardements meurtriers de l'armée contre les quartiers tenus par les rebelles.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), les localités visées, Jibrine et al-Houmeiri, sont alaouites, minorité religieuse à laquelle appartient le président syrien Bachar al-Assad.
Un double attentat avait déjà frappé mardi un quartier alaouite à Homs, troisième ville de Syrie, faisant au moins 100 morts, en majorité des civils.
Ces explosions meurtrières interviennent à un mois de la présidentielle du 3 juin qui doit être organisée dans les zones tenues par le régime et devrait aboutir sans surprise à la réélection de M. Assad.
Selon Sana, les attentats de Hama ont été menés par deux "terroristes", reprenant le terme employé par le régime pour désigner les rebelles.
"Un terroriste a fait exploser une voiture piégée au centre de la localité de Jibrine, dans le sud-ouest de le province de Hama, tuant 17 civils dont 11 enfants et blessant plus de 50 personnes", a indiqué l'agence, en précisant que l'attentat avait endommagé plusieurs bâtiments.
Le deuxième attentat suicide, qui a eu à al-Houmeiri, a fait un mort, d'après Sana. L'OSDH a fait état de son côté de 15 morts, précisant que l'attentat de Houmeiri s'était produit près d'un poste de police.
Par ailleurs, Le chef d'Al-Qaïda Ayman al-Zawahri a ordonné à la branche syrienne du réseau extrémiste, le Front Al-Nosra, de cesser de combattre les autres jihadistes dans ce pays, dans un nouvel enregistrement sonore mis en ligne vendredi sur des sites islamistes.
Les jihadistes du Front Al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda, avaient revendiqué le double attentat de mardi à Homs, à Abbassiya, un quartier alaouite contrôlé par le régime. Ils avaient indiqué dans un communiqué qu'il s'agissait de représailles aux bombardements meurtriers de l'armée contre les quartiers tenus par les rebelles.
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