Le syndicat de base des personnels du ministère des Affaires étrangères a organisé, jeudi matin, au siège du ministère, un rassemblement de soutien à leurs collègues retenus en otage en Libye, l'employé d'ambassade Mohamed Becheikh et le diplomate Laroussi Kantassi, enlevés le 21 mars et le 17 avril 2014.
Le mouvement cherche à générer une "pression positive", à déclaré la secrétaire générale du syndicat, Jihène Yousfi, à l'agence TAP, mentionnant "une question de vie ou de mort".
"Une cellule de crise est actuellement à l'oeuvre au ministère des Affaires étrangères, et aucun effort ni moyen n'est épargné pour arriver au dénouement de cette affaire".
De son côté, le président de l'Association des diplomates tunisiens Zied Saâdaoui a dénoncé une forme de laxisme au niveau de l'action de la cellule de crise, préconisant de mettre en place une communication de crise pour gagner en coordination et en efficacité.
Mme Jamila Kantassi, mère du diplomate enlevé, a confié à la TAP être profondément touchée par cet élan de solidarité, se disant toutefois extrêmement préoccupée par la situation de son fils. Elle n'a plus de nouvelles de lui depuis un mois.
"Nous gardons espoir et nous faisons encore confiance au gouvernement qui ne semble épargner aucun effort, mais l'attente commence à être longue et douloureuse", a-t-elle lancé.
Le chef du gouvernement Mehdi Jomâa a déclaré mercredi que des efforts quotidiens étaient déployés auprès des autorités libyennes pour garantir le retour en sécurité des deux otages.
Le mouvement cherche à générer une "pression positive", à déclaré la secrétaire générale du syndicat, Jihène Yousfi, à l'agence TAP, mentionnant "une question de vie ou de mort".
"Une cellule de crise est actuellement à l'oeuvre au ministère des Affaires étrangères, et aucun effort ni moyen n'est épargné pour arriver au dénouement de cette affaire".
De son côté, le président de l'Association des diplomates tunisiens Zied Saâdaoui a dénoncé une forme de laxisme au niveau de l'action de la cellule de crise, préconisant de mettre en place une communication de crise pour gagner en coordination et en efficacité.
Mme Jamila Kantassi, mère du diplomate enlevé, a confié à la TAP être profondément touchée par cet élan de solidarité, se disant toutefois extrêmement préoccupée par la situation de son fils. Elle n'a plus de nouvelles de lui depuis un mois.
"Nous gardons espoir et nous faisons encore confiance au gouvernement qui ne semble épargner aucun effort, mais l'attente commence à être longue et douloureuse", a-t-elle lancé.
Le chef du gouvernement Mehdi Jomâa a déclaré mercredi que des efforts quotidiens étaient déployés auprès des autorités libyennes pour garantir le retour en sécurité des deux otages.
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