Le Front du Salut national (FSN) a décidé d'adresser une note au quartet avant le démarrage, lundi prochain, de la séance plénière du dialogue national, en vue de demander des garanties pour la réussite de ce dialogue, a affirmé le porte-parole du parti des travailleurs, Jilani Hammami.
La réunion du dialogue national prévue initialement mercredi puis vendredi a été une troisième fois reportée à la demande du FSN.
La note s'articule autour de deux principaux points. Il s'agit de définir les mécanismes permettant de résoudre les litiges dans le cadre du dialogue national et la méthodologie de travail dans les trois processus contenus dans la feuille de route, a-t-il déclaré à la presse, à l'issue d'une réunion extraordinaire du Front de Salut, marquée par l'absence d'Al Joumhouri.
Hammami a indiqué que le Front de Salut revendique le respect des délais fixés par la feuille de route, dont la formation d'un nouveau gouvernement, dans une période de 15 jours, à compter de lundi prochain, et la démission du gouvernement Larayedh, dès l'annonce de la composition du nouveau gouvernement.
Le Front appelle, également, à l'amendement de la loi fondamentale relative à l'Organisation provisoire des pouvoirs publics (OPPP) en ce qui concerne la présentation de nouveau gouvernement à l'Assemblée nationale constituante pour obtenir le vote de confiance et la levée des obstacles pouvant bloquer le dialogue national.
L'indépendance du gouvernement en question
"Le gouvernement de Mehdi Jomâa doit être composé d'un nombre limité de compétences apolitiques, non concernées par les prochaines élections et attachées à l'application des dispositions contenues dans la feuille route", a-t-il noté.
"Nous n'allons pas intervenir dans la formation du prochain gouvernement", a indiqué Taïeb Baccouche, porte parole de Nida Tounes. "Le Premier ministre doit assumer sa responsabilité dans le choix de ses ministres et aucun parti ne devrait intervenir en faveur d'un ministre, pour assurer l'indépendance du gouvernement", a-t-il conclut.
Enfin, pour Hamma Hammami, porte parole du Front populaire, il serait inadmissible de garder, dans ce nouveau gouvernement, des ministres de l'actuel cabinet, quand bien même ils seraient présentés comme des personnalités indépendantes.
La réunion du dialogue national prévue initialement mercredi puis vendredi a été une troisième fois reportée à la demande du FSN.
report de la reprise du #dialoguenational (prévue cet après midi) pr lundi après demande du #frontdusalut réuni en l'absence du Joumhouri..
— Firas Guefrech (@gFiras) 20 Décembre 2013
La note s'articule autour de deux principaux points. Il s'agit de définir les mécanismes permettant de résoudre les litiges dans le cadre du dialogue national et la méthodologie de travail dans les trois processus contenus dans la feuille de route, a-t-il déclaré à la presse, à l'issue d'une réunion extraordinaire du Front de Salut, marquée par l'absence d'Al Joumhouri.
Hammami a indiqué que le Front de Salut revendique le respect des délais fixés par la feuille de route, dont la formation d'un nouveau gouvernement, dans une période de 15 jours, à compter de lundi prochain, et la démission du gouvernement Larayedh, dès l'annonce de la composition du nouveau gouvernement.
Le Front appelle, également, à l'amendement de la loi fondamentale relative à l'Organisation provisoire des pouvoirs publics (OPPP) en ce qui concerne la présentation de nouveau gouvernement à l'Assemblée nationale constituante pour obtenir le vote de confiance et la levée des obstacles pouvant bloquer le dialogue national.
L'indépendance du gouvernement en question
"Le gouvernement de Mehdi Jomâa doit être composé d'un nombre limité de compétences apolitiques, non concernées par les prochaines élections et attachées à l'application des dispositions contenues dans la feuille route", a-t-il noté.
LIRE: L'UGTT publie une note sur la structure attendue du nouveau gouvernement
"Nous n'allons pas intervenir dans la formation du prochain gouvernement", a indiqué Taïeb Baccouche, porte parole de Nida Tounes. "Le Premier ministre doit assumer sa responsabilité dans le choix de ses ministres et aucun parti ne devrait intervenir en faveur d'un ministre, pour assurer l'indépendance du gouvernement", a-t-il conclut.
Enfin, pour Hamma Hammami, porte parole du Front populaire, il serait inadmissible de garder, dans ce nouveau gouvernement, des ministres de l'actuel cabinet, quand bien même ils seraient présentés comme des personnalités indépendantes.
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