Les autorités tunisiennes ont intercepté vendredi soir 67 migrants clandestins en partance pour l'Europe, après en avoir déjà interpellé plus de 200 la veille au large de Zarzis, a annoncé samedi le Croissant-Rouge tunisien.
Parmi les migrants, en majorité nigérians, figuraient trois femmes enceintes et quatre enfants, a indiqué à des journalistes Mongi Slim, un responsable régional du Croissant-Rouge.
Les migrants, originaires également du Ghana, du Soudan et du Bangladesh, étaient partis de Libye à bord d'un bateau de pêche avec pour destination l'Europe, a-t-il ajouté. Ils ont été repérés par des pêcheurs qui ont alerté la marine.
"Nous n'avons pas où les héberger", a déploré M. Slim, en indiquant que les centres d'accueil des villes de Ben Guerdane et Médenine étaient pleins et en appelant les autorités à trouver une solution.
Les migrants ont été temporairement logés dans une école de pêche de Zarzis en attendant une décision sur leur sort, a-t-il ajouté.
Les plus de 200 migrants interceptés jeudi devaient, eux, être transférés à la capitale Tunis pour être remis à leurs ambassades, à l'exception de 24 personnes originaires du Darfour (Soudan), de sept Syriens et de deux Palestiniens de Gaza qui pourront rester en Tunisie, avait dit M. Slim à l'AFP.
Parmi les migrants, en majorité nigérians, figuraient trois femmes enceintes et quatre enfants, a indiqué à des journalistes Mongi Slim, un responsable régional du Croissant-Rouge.
Les migrants, originaires également du Ghana, du Soudan et du Bangladesh, étaient partis de Libye à bord d'un bateau de pêche avec pour destination l'Europe, a-t-il ajouté. Ils ont été repérés par des pêcheurs qui ont alerté la marine.
"Nous n'avons pas où les héberger", a déploré M. Slim, en indiquant que les centres d'accueil des villes de Ben Guerdane et Médenine étaient pleins et en appelant les autorités à trouver une solution.
Les migrants ont été temporairement logés dans une école de pêche de Zarzis en attendant une décision sur leur sort, a-t-il ajouté.
Les plus de 200 migrants interceptés jeudi devaient, eux, être transférés à la capitale Tunis pour être remis à leurs ambassades, à l'exception de 24 personnes originaires du Darfour (Soudan), de sept Syriens et de deux Palestiniens de Gaza qui pourront rester en Tunisie, avait dit M. Slim à l'AFP.
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