Nida Tounes a émis des réserves sur plusieurs candidats aux sections régionales de l'Instance pour les élections (ISIE) "en raison de l'absence des critères de neutralité, d'expérience et d'indépendance".
Ces critères sont définis par les articles 7, 12 et 21 de la loi n° 23 du 20 décembre 2012 relative à l'ISIE, précise le parti dans une communiqué publié mercredi.
Par ailleurs, Nida Tounes appelle l'ISIE à assumer ses responsabilités en ce qui concerne la date des élections et à faciliter la tâche du dialogue national en lui proposant un calendrier qui respecte les délais fixés par les dispositions transitoires de la Constitution (imposant l'organisation d'élections législatives et présidentielle avant la fin de l'année).
Le parti de Béji Caïd Essebsi considère en effet que ces prérogatives reviennent à l'instance, selon l'articles 3 paragraphe 5 de la loi portant création de l'ISIE.
Le mouvement s'est dit préoccupé du retard pris dans le démarrage effectif du processus électoral et des campagnes de sensibilisation pour l'inscription des électeurs. Même retard observé au niveau de la finalisation de la composition des sections régionales de l'ISIE et de l'accréditation d'observateurs et d'assistants tunisiens et étrangers, constate Nida Tounes.
Dans sa déclaration, le parti exhorte l'ISIE à rattraper ce retard et à changer tous les responsables administratifs et coordinateurs régionaux suspectés de partialité ou d'incompétence.
Nida Tounes appelle en outre l'Instance à publier ses délibérations au journal officiel (JORT) conformément aux articles 18 et 19 de la loi portant sur l'ISIE et à s'ouvrir davantage aux associations concernées par les élections.
Ces critères sont définis par les articles 7, 12 et 21 de la loi n° 23 du 20 décembre 2012 relative à l'ISIE, précise le parti dans une communiqué publié mercredi.
Par ailleurs, Nida Tounes appelle l'ISIE à assumer ses responsabilités en ce qui concerne la date des élections et à faciliter la tâche du dialogue national en lui proposant un calendrier qui respecte les délais fixés par les dispositions transitoires de la Constitution (imposant l'organisation d'élections législatives et présidentielle avant la fin de l'année).
Le parti de Béji Caïd Essebsi considère en effet que ces prérogatives reviennent à l'instance, selon l'articles 3 paragraphe 5 de la loi portant création de l'ISIE.
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Le mouvement s'est dit préoccupé du retard pris dans le démarrage effectif du processus électoral et des campagnes de sensibilisation pour l'inscription des électeurs. Même retard observé au niveau de la finalisation de la composition des sections régionales de l'ISIE et de l'accréditation d'observateurs et d'assistants tunisiens et étrangers, constate Nida Tounes.
Dans sa déclaration, le parti exhorte l'ISIE à rattraper ce retard et à changer tous les responsables administratifs et coordinateurs régionaux suspectés de partialité ou d'incompétence.
Nida Tounes appelle en outre l'Instance à publier ses délibérations au journal officiel (JORT) conformément aux articles 18 et 19 de la loi portant sur l'ISIE et à s'ouvrir davantage aux associations concernées par les élections.
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