Dans une courte interview diffusée sur la radio France Inter, en marge de sa visite en France, Rached Ghannouchi, président du parti islamiste Ennahdha en Tunisie a assuré que son parti défendait les libertés individuelles, particulièrement les libertés religieuses et soutenait l'égalité des sexes.
"Ennahdha est un parti civil et considère les citoyens comme étant tous égaux, en tant que citoyens, quels que soient leur religion, leur couleur ou leur sexe", a déclaré Rached Ghannouchi, rappelant que son mouvement avait "admis" le principe de parité dans la constitution et qu'il défendait l'égalité "totale" entre les hommes et les femmes.
Pour une "démocratie consensuelle"
Justifiant le fait qu'Ennahdha ait "quitté le pouvoir" au profit d'un gouvernement d'indépendants, le leader islamiste a déclaré que son parti privilégiait "la Tunisie et la démocratie" au fait de rester au pouvoir.
Pour Rached Ghannouchi, la Tunisie vit une "période de transition démocratique où le pouvoir de la majorité ne suffit pas", préférant le concept maintes fois avancé par la classe politique tunisienne d'une "démocratie consensuelle".
"Ennahdha est un parti civil et considère les citoyens comme étant tous égaux, en tant que citoyens, quels que soient leur religion, leur couleur ou leur sexe", a déclaré Rached Ghannouchi, rappelant que son mouvement avait "admis" le principe de parité dans la constitution et qu'il défendait l'égalité "totale" entre les hommes et les femmes.
"Ennahdha est un mouvement démocrate qui respecte les libertés religieuses et la constitution tunisienne, croit en la liberté de conscience et de culte quelle que soit la religion", a-t-il ajouté.
Pour une "démocratie consensuelle"
Justifiant le fait qu'Ennahdha ait "quitté le pouvoir" au profit d'un gouvernement d'indépendants, le leader islamiste a déclaré que son parti privilégiait "la Tunisie et la démocratie" au fait de rester au pouvoir.
Pour Rached Ghannouchi, la Tunisie vit une "période de transition démocratique où le pouvoir de la majorité ne suffit pas", préférant le concept maintes fois avancé par la classe politique tunisienne d'une "démocratie consensuelle".
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