C’est dans la Tunisie d’après-guerre, au Kram, petit quartier en bord de mer de la banlieue nord de Tunis, que le CinéVog a été construit en 1948 par la famille Italienne Lombardo. Des documents retrouvés indiquent que l’inauguration officielle du cinéma aurait eu lieu en 1950. Ce petit cinéma de quartier connaît son âge d’or dans les années 1950/60.
Cette salle a été inaugurée une seconde fois, dimanche dernier, après une restructuration et des travaux de rénovation entrepris par l'artiste et réalisateur Moncef Dhouib qui la présente comme un espace culturel ouvert à tous les arts (musique, théâtre, arts plastiques et cinéma),
Après avoir accueilli plusieurs générations d'artistes et de passionnés d'art, la salle a fermé ses portes au début des années 90.
Depuis deux ans déjà, "l'idée de rouvrir la salle faisait partie de mes projets, j'ai donc contacté le propriétaire et on s'est entendu sur une formule de location et de fond de commerce où j'était en charge des travaux", témoigne M. Dhouib. La durée initiale des travaux était de six mois mais ils ont duré deux années à cause du mauvais état du bâtiment qui a nécessité une reconstruction", explique Dhouib.
Le financement de ces travaux n'a pas été des plus classiques car le ministère de la culture n'a pas participé au projet. Les banques "ont refusé de nous accorder des prêts et les hommes d'affaires désintéressés de la culture n'ont pas contribué au financement, c'est la société civile qui s'en est chargée" a-t-il ajouté.
L'espace intègre un théâtre cinéma, un café culturel, une galerie et un espace consacré à la formation en matière d'art et d'arts de la scène. Cet espace est supervisé par un groupe de professionnels comme Hichem Rostom, Atef Ben Hassine, Fathi Akkeri, Dorra Bouchoucha, Tayeb Jallouli ou encore Moncef Dhouib.
Dotée de 450 places, la salle de cinéma sera ouverte au public pendant la 25ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC), qui aura lieu du 1er au 8 novembre prochain.
Cette salle a été inaugurée une seconde fois, dimanche dernier, après une restructuration et des travaux de rénovation entrepris par l'artiste et réalisateur Moncef Dhouib qui la présente comme un espace culturel ouvert à tous les arts (musique, théâtre, arts plastiques et cinéma),
Après avoir accueilli plusieurs générations d'artistes et de passionnés d'art, la salle a fermé ses portes au début des années 90.
Depuis deux ans déjà, "l'idée de rouvrir la salle faisait partie de mes projets, j'ai donc contacté le propriétaire et on s'est entendu sur une formule de location et de fond de commerce où j'était en charge des travaux", témoigne M. Dhouib. La durée initiale des travaux était de six mois mais ils ont duré deux années à cause du mauvais état du bâtiment qui a nécessité une reconstruction", explique Dhouib.
Le financement de ces travaux n'a pas été des plus classiques car le ministère de la culture n'a pas participé au projet. Les banques "ont refusé de nous accorder des prêts et les hommes d'affaires désintéressés de la culture n'ont pas contribué au financement, c'est la société civile qui s'en est chargée" a-t-il ajouté.
L'espace intègre un théâtre cinéma, un café culturel, une galerie et un espace consacré à la formation en matière d'art et d'arts de la scène. Cet espace est supervisé par un groupe de professionnels comme Hichem Rostom, Atef Ben Hassine, Fathi Akkeri, Dorra Bouchoucha, Tayeb Jallouli ou encore Moncef Dhouib.
Dotée de 450 places, la salle de cinéma sera ouverte au public pendant la 25ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC), qui aura lieu du 1er au 8 novembre prochain.
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