Un gendarme tunisien a été blessé dimanche dans l'explosion d'une mine artisanale lors d'une opération antiterroriste dans le nord-ouest du pays, a annoncé le ministère de l'Intérieur dans un communiqué.
"Des unités de l'armée et de la Garde nationale mènent depuis l'aube du 29 juin des opérations de bombardement et de ratissage dans l'une des régions des montagnes de Fernana, dans le gouvernorat de Jendouba, pour traquer le reste d'un groupe terroriste qui s'y est retranché", a indiqué le ministère, d'après qui l'un des dirigeants de ce groupe a été arrêté la veille.
Les forces de l'ordre ont détruit la cachette du groupe, mais "pendant l'opération de descente et de fouille une mine artisanale a explosé, blessant un membre de la Garde nationale", a poursuivi le ministère.
L'opération était toujours en cours en fin d'après-midi pour capturer les membres du groupe, selon le communiqué.
La Tunisie fait face depuis la révolution de 2011 à l'essor de groupes jihadistes.
Mi-juin, Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué pour la première fois de récentes attaques dans le pays, notamment un assaut contre le domicile du ministre de l'Intérieur qui avait fait quatre morts parmi les forces de l'ordre fin mai.
Les autorités tunisiennes affirment avoir repris la main dans la lutte contre ces groupes armés particulièrement actifs à la frontière tuniso-algérienne, mais reconnaissent que la lutte va "prendre du temps".
"Des unités de l'armée et de la Garde nationale mènent depuis l'aube du 29 juin des opérations de bombardement et de ratissage dans l'une des régions des montagnes de Fernana, dans le gouvernorat de Jendouba, pour traquer le reste d'un groupe terroriste qui s'y est retranché", a indiqué le ministère, d'après qui l'un des dirigeants de ce groupe a été arrêté la veille.
Les forces de l'ordre ont détruit la cachette du groupe, mais "pendant l'opération de descente et de fouille une mine artisanale a explosé, blessant un membre de la Garde nationale", a poursuivi le ministère.
L'opération était toujours en cours en fin d'après-midi pour capturer les membres du groupe, selon le communiqué.
La Tunisie fait face depuis la révolution de 2011 à l'essor de groupes jihadistes.
Mi-juin, Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué pour la première fois de récentes attaques dans le pays, notamment un assaut contre le domicile du ministre de l'Intérieur qui avait fait quatre morts parmi les forces de l'ordre fin mai.
Les autorités tunisiennes affirment avoir repris la main dans la lutte contre ces groupes armés particulièrement actifs à la frontière tuniso-algérienne, mais reconnaissent que la lutte va "prendre du temps".
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