Près de 2.000 personnes, en majorité des partisans du parti islamiste Ennahdha, ont manifesté vendredi dans le centre de Tunis contre l'offensive israélienne à Gaza, qui a fait plus de 100 morts en quatre jours.
"Le peuple veut la libération de la Palestine", "En avant Hamas, ta lutte nous fait honneur", ont scandé les manifestants, dont beaucoup brandissaient des drapeaux tunisiens et palestiniens ainsi que des bannières du mouvement islamiste palestinien Hamas, qui contrôle la bande de Gaza.
Certains ont aussi scandé des slogans contre le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, honni par les islamistes pour avoir écrasé les Frères musulmans et accusé de faire profil bas face aux raids israéliens sur Gaza.
Un haut responsable d'Ennahdha et ex-ministre de la Santé, Abdellatif Mekki, s'est de son côté félicité des tirs de roquettes palestiniens contre Israël, estimant que les Palestiniens avaient "instauré une nouvelle équation en ripostant à l'agression par des frappes (...) contre les forteresses de l'ennemi".
Ce nouveau conflit est le plus meurtrier depuis l'opération "Pilier de Défense" en novembre 2012. Sur le plan diplomatique, la communauté internationale a engagé, timidement, des efforts pour enrayer la spirale de violence.
"Le peuple veut la libération de la Palestine", "En avant Hamas, ta lutte nous fait honneur", ont scandé les manifestants, dont beaucoup brandissaient des drapeaux tunisiens et palestiniens ainsi que des bannières du mouvement islamiste palestinien Hamas, qui contrôle la bande de Gaza.
Certains ont aussi scandé des slogans contre le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, honni par les islamistes pour avoir écrasé les Frères musulmans et accusé de faire profil bas face aux raids israéliens sur Gaza.
"Le monde, avec toutes ses organisations et ses institutions, regarde ce crime odieux sans pousser si ce n'est qu'un cri d'effroi", a dénoncé Nabil Boulifi, un fonctionnaire.
Un haut responsable d'Ennahdha et ex-ministre de la Santé, Abdellatif Mekki, s'est de son côté félicité des tirs de roquettes palestiniens contre Israël, estimant que les Palestiniens avaient "instauré une nouvelle équation en ripostant à l'agression par des frappes (...) contre les forteresses de l'ennemi".
Ce nouveau conflit est le plus meurtrier depuis l'opération "Pilier de Défense" en novembre 2012. Sur le plan diplomatique, la communauté internationale a engagé, timidement, des efforts pour enrayer la spirale de violence.
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