Alors que le bilan des morts et des blessés ne cesse de s'alourdir, le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, a annoncé samedi 12 juillet qu'il allait évoquer un cessez-le-feu à Gaza avec ses homologues américain, français et allemand en marge de la réunion sur le nucléaire iranien dimanche à Vienne.
"Nous avons besoin d'une action internationale urgente et concertée afin de mettre en place un cessez-le-feu, comme en 2012. Je vais l'évoquer avec John Kerry, Laurent Fabius et Frank-Walter Steinmeier demain à Vienne", a déclaré le chef de la diplomatie britannique dans un communiqué.
William Hague a ajouté avoir "insisté sur le besoin d'une désescalade immédiate et d'un rétablissement du cessez-le-feu instauré en novembre 2012" lors de ses conversations téléphoniques samedi avec son homologue israélien Avigdor Lieberman et le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
"J'ai également exprimé notre profonde préoccupation sur le nombre de victimes civiles et l'impératif, pour les deux côtés, d'éviter de nouvelles pertes de vie innocentes", a ajouté le ministre qui avait déjà fait part dans la matinée de sa "préoccupation extrême" sur son compte twitter.
C'était alors la première réaction officielle de Londres depuis le soutien ferme à Israël apporté par le Premier ministre, David Cameron, mercredi, au lendemain des premières frappes israéliennes sur Gaza visant à faire cesser les tirs de roquettes par les combattants palestiniens.
Depuis, l'armée israélienne a multiplié les raids aériens sur la bande de Gaza, faisant au moins 127 morts et au moins 940 blessés, en majorité des civils, selon les services de secours palestiniens.
Dans le même temps, l'armée israélienne a recensé 564 roquettes sur Israël, et près de 140 ont été détruites en vol par le système de défense Iron Dome. Ces tirs ont fait une dizaine de blessés mais aucun mort.
Ce nouveau conflit est le plus meurtrier depuis l'opération "Pilier de Défense" en novembre 2012, qui avait déjà pour objectif de faire cesser les tirs de roquettes de Gaza. Les hostilités avaient fait 177 morts palestiniens et 6 Israéliens.
Vendredi soir, le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, a proclamé qu'Israël résisterait à toute ingérence internationale en vue d'un cessez-le-feu.
LIRE AUSSI:
Appels à la "vengeance contre les Arabes": Quand la haine envahit le web israélien
Hamas-Israël: Cinq questions autour de l'escalade de la violence
"Nous avons besoin d'une action internationale urgente et concertée afin de mettre en place un cessez-le-feu, comme en 2012. Je vais l'évoquer avec John Kerry, Laurent Fabius et Frank-Walter Steinmeier demain à Vienne", a déclaré le chef de la diplomatie britannique dans un communiqué.
William Hague a ajouté avoir "insisté sur le besoin d'une désescalade immédiate et d'un rétablissement du cessez-le-feu instauré en novembre 2012" lors de ses conversations téléphoniques samedi avec son homologue israélien Avigdor Lieberman et le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
"J'ai également exprimé notre profonde préoccupation sur le nombre de victimes civiles et l'impératif, pour les deux côtés, d'éviter de nouvelles pertes de vie innocentes", a ajouté le ministre qui avait déjà fait part dans la matinée de sa "préoccupation extrême" sur son compte twitter.
C'était alors la première réaction officielle de Londres depuis le soutien ferme à Israël apporté par le Premier ministre, David Cameron, mercredi, au lendemain des premières frappes israéliennes sur Gaza visant à faire cesser les tirs de roquettes par les combattants palestiniens.
Depuis, l'armée israélienne a multiplié les raids aériens sur la bande de Gaza, faisant au moins 127 morts et au moins 940 blessés, en majorité des civils, selon les services de secours palestiniens.
Dans le même temps, l'armée israélienne a recensé 564 roquettes sur Israël, et près de 140 ont été détruites en vol par le système de défense Iron Dome. Ces tirs ont fait une dizaine de blessés mais aucun mort.
Ce nouveau conflit est le plus meurtrier depuis l'opération "Pilier de Défense" en novembre 2012, qui avait déjà pour objectif de faire cesser les tirs de roquettes de Gaza. Les hostilités avaient fait 177 morts palestiniens et 6 Israéliens.
Vendredi soir, le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, a proclamé qu'Israël résisterait à toute ingérence internationale en vue d'un cessez-le-feu.
LIRE AUSSI:
Appels à la "vengeance contre les Arabes": Quand la haine envahit le web israélien
Hamas-Israël: Cinq questions autour de l'escalade de la violence
Retrouvez les articles du HuffPost Maghreb sur notre page Facebook.