Le chef du Hamas, Khaled Mechaal, a annoncé mercredi son rejet d'un cessez-le-feu avant la levée du blocus israélien imposé depuis plus de 7 ans à la bande de Gaza.
"Nous ne pouvons accepter aucune proposition de cessez-le-feu qui n'inclut pas la levée réelle du blocus sur Gaza", a-t-il dit lors d'une conférence de presse à Doha. "Quel est le prix à payer? Combien de soldats israéliens morts Israël est-il prêt à voir avant de lever le blocus?".
La levée du blocus en place depuis 2006 est l'une des revendications du Hamas, qui exige aussi l'ouverture de la frontière avec l'Egypte et la libération par Israël de prisonniers.
"Ce sont les Palestiniens les victimes, pas Israël"
Lors de son allocution, Khaled Mechaal a interpellé le secrétaire d'Etat américain John Kerry et le secrétaire général de l'ONU Ban Ki Moon sur la situation d'occupation et d'injustice dans laquelle vivaient les Palestiniens. "Ce sont les Palestiniens les victimes, pas Israël", a-t-il dit.
Le chef du mouvement islamiste a insisté également sur le droit des Palestiniens à se défendre contre les attaques de la "force d'occupation" qu'est Israël. "Même du point de vue du droit international, la victime a le droit de se défendre contre son oppresseur", a-t-il déclaré.
Par ailleurs, il a assuré que le Hamas était sorti victorieux sur le plan de l'éthique, indiquant que les morts israéliens étaient en grande majorité des soldats de Tsahal alors que l'armée israélienne a causé la mort d'une grande majorité de civils, côté palestinien.
L'ONU a décidé l'envoi d'une mission pour enquêter sur de possibles "crimes de guerre" commis par l'armée israélienne à Gaza et dénoncé les attaques aveugles du Hamas contre des zones civiles en Israël, alors que les efforts américains et du patron de l'ONU, Ban Ki-moon, s'intensifient pour faire cesser le conflit le plus meurtrier entre les deux camps depuis 2009.
Le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU a accru la pression mercredi sur Israël en décidant l'envoi d'urgence d'une commission chargée d'enquêter sur les violations commises dans le cadre de l'offensive israélienne à Gaza.
"Nous ne pouvons accepter aucune proposition de cessez-le-feu qui n'inclut pas la levée réelle du blocus sur Gaza", a-t-il dit lors d'une conférence de presse à Doha. "Quel est le prix à payer? Combien de soldats israéliens morts Israël est-il prêt à voir avant de lever le blocus?".
La levée du blocus en place depuis 2006 est l'une des revendications du Hamas, qui exige aussi l'ouverture de la frontière avec l'Egypte et la libération par Israël de prisonniers.
"Ce sont les Palestiniens les victimes, pas Israël"
Lors de son allocution, Khaled Mechaal a interpellé le secrétaire d'Etat américain John Kerry et le secrétaire général de l'ONU Ban Ki Moon sur la situation d'occupation et d'injustice dans laquelle vivaient les Palestiniens. "Ce sont les Palestiniens les victimes, pas Israël", a-t-il dit.
Le chef du mouvement islamiste a insisté également sur le droit des Palestiniens à se défendre contre les attaques de la "force d'occupation" qu'est Israël. "Même du point de vue du droit international, la victime a le droit de se défendre contre son oppresseur", a-t-il déclaré.
Par ailleurs, il a assuré que le Hamas était sorti victorieux sur le plan de l'éthique, indiquant que les morts israéliens étaient en grande majorité des soldats de Tsahal alors que l'armée israélienne a causé la mort d'une grande majorité de civils, côté palestinien.
LIRE AUSSI: Gaza: À chaque média sa vérité (VIDÉO)
L'ONU a décidé l'envoi d'une mission pour enquêter sur de possibles "crimes de guerre" commis par l'armée israélienne à Gaza et dénoncé les attaques aveugles du Hamas contre des zones civiles en Israël, alors que les efforts américains et du patron de l'ONU, Ban Ki-moon, s'intensifient pour faire cesser le conflit le plus meurtrier entre les deux camps depuis 2009.
Le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU a accru la pression mercredi sur Israël en décidant l'envoi d'urgence d'une commission chargée d'enquêter sur les violations commises dans le cadre de l'offensive israélienne à Gaza.
LIRE AUSSI: L'ONU lance une enquête sur l'offensive israélienne
Retrouvez les articles du HuffPost Maghreb sur notre page Facebook.