Ils sont nos yeux sur place, comme le veut la formule.
Alors que certains journalistes craquent en plein direct sous le coup de l'émotion, comme cet envoyé spécial de la chaîne Al-Jazeera, dimanche 20 juillet, d'autres côtoient au plus près les bombardements.
Alors qu'Israel avait annoncé hier la mobilisation de 16.000 nouveaux réservistes et que les affrontements ne faiblissent pas, les duplex sous tension, interrompus par les explosions se multiplient, comme le montre notre vidéo ci-dessus.
Mercredi 30 juillet ce sont deux journalistes qui ont été surpris par des détonations. C'est d'abord une roquette israélienne de faible puissance, faite pour prévenir d'un bombardement imminent, ("knock on the roof") qui a interrompu l'envoyé spécial de la chaîne CNN John Vause. C'était avant qu'une deuxième détonation, plus puissante, ne laisse un bâtiment à proximité noyé dans la fumée. Le même jour, la journaliste suédoise Susan Ritzén a elle été surprise par le bruit assourdissant et la lumière extrêmement vive d'un projectile dans son dos, à plus une centaine de mètres environ.
Dix jours plus tôt, le journaliste d'I-Télé, Guillaume Auda, également sur place, avait été témoin d'un bombardement d'immeuble, à quelques instants seulement de démarrer son direct. On distinguait alors de la fumée émerger d'un immeuble situé à seulement une centaine de mètres des caméras.
Le 29 juillet, les locaux de la télévision et de la radio du Hamas ont été aussi pris pour cible par l'armée à Gaza, perturbant les émissions du principal média local. Les locaux de l'agence de presse gazaouie Wataniya Media Agency ont également été pris pour cible. Mercredi 30 juillet, un journaliste palestinien, Rami Rayan, a été tué dans des bombardements.
Après 24 jours de conflit entre le Hamas et Israël, côté palestinien, le bilan est désormais de 1395 morts et de plus de 8100 blessés, en grande majorité des civils, selon les secours. Plus de 245 enfants figurent parmi les morts, selon l'Unicef. Côté israélien, 56 soldats ont péri depuis le début de l'offensive terrestre le 17 juillet, dans et autour de la bande de Gaza, alors que les tirs de roquettes palestiniens ont tué trois civils en Israël, deux Israéliens et un Thaïlandais, depuis le début du conflit.
Alors que certains journalistes craquent en plein direct sous le coup de l'émotion, comme cet envoyé spécial de la chaîne Al-Jazeera, dimanche 20 juillet, d'autres côtoient au plus près les bombardements.
Alors qu'Israel avait annoncé hier la mobilisation de 16.000 nouveaux réservistes et que les affrontements ne faiblissent pas, les duplex sous tension, interrompus par les explosions se multiplient, comme le montre notre vidéo ci-dessus.
Mercredi 30 juillet ce sont deux journalistes qui ont été surpris par des détonations. C'est d'abord une roquette israélienne de faible puissance, faite pour prévenir d'un bombardement imminent, ("knock on the roof") qui a interrompu l'envoyé spécial de la chaîne CNN John Vause. C'était avant qu'une deuxième détonation, plus puissante, ne laisse un bâtiment à proximité noyé dans la fumée. Le même jour, la journaliste suédoise Susan Ritzén a elle été surprise par le bruit assourdissant et la lumière extrêmement vive d'un projectile dans son dos, à plus une centaine de mètres environ.
LIRE AUSSI: Briser les 11 mythes qu'Israël a construit sur le Hamas, Gaza, et les crimes de guerre
Dix jours plus tôt, le journaliste d'I-Télé, Guillaume Auda, également sur place, avait été témoin d'un bombardement d'immeuble, à quelques instants seulement de démarrer son direct. On distinguait alors de la fumée émerger d'un immeuble situé à seulement une centaine de mètres des caméras.
Le 29 juillet, les locaux de la télévision et de la radio du Hamas ont été aussi pris pour cible par l'armée à Gaza, perturbant les émissions du principal média local. Les locaux de l'agence de presse gazaouie Wataniya Media Agency ont également été pris pour cible. Mercredi 30 juillet, un journaliste palestinien, Rami Rayan, a été tué dans des bombardements.
Après 24 jours de conflit entre le Hamas et Israël, côté palestinien, le bilan est désormais de 1395 morts et de plus de 8100 blessés, en grande majorité des civils, selon les secours. Plus de 245 enfants figurent parmi les morts, selon l'Unicef. Côté israélien, 56 soldats ont péri depuis le début de l'offensive terrestre le 17 juillet, dans et autour de la bande de Gaza, alors que les tirs de roquettes palestiniens ont tué trois civils en Israël, deux Israéliens et un Thaïlandais, depuis le début du conflit.