Comme nombre de mes collègues espagnols, je me suis exprimé cette semaine sur le conflit à Gaza, en demandant à tous les gouvernements d'intervenir pour empêcher que la région ne s'enfonce davantage dans la crise. Il ne fallait voir dans cet engagement qu'un appel à la paix. La destruction et la haine n'engendrent que la haine et la destruction.
Bien que je critique la réaction de l'armée israélienne, j'ai beaucoup de respect pour les habitants d'Israël et une profonde empathie face aux pertes qu'ils ont subies. Certains nous accusent aujourd'hui, ma femme et moi, d'être antisémites - l'antithèse de ce que nous sommes en tant qu'êtres humains. Nous détestons l'antisémitisme, tout autant que les conséquences horribles et tragiques de cette guerre.
Mes parents m'ont appris à m'opposer à toute forme de violence, et aux souffrances humaines qui en découlent, indépendamment de toute religion, ethnie ou frontière. Trop de Palestiniennes innocentes ont perdu leurs enfants au cours de ce conflit. Trop d'Israéliennes innocentes partagent leur douleur. Aucun calcul politique ne peut justifier tant de souffrance, d'un côté comme de l'autre. J'espère que les dirigeants impliqués dans ce combat difficile entendront l'appel du Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon: "Au nom de l'humanité, il faut que cesse cette violence".
Les Palestiniens et les Israéliens de la région, ainsi que leurs enfants innocents, ont droit à la reconnaissance et au respect de leur sécurité et de leurs droits, afin de créer les conditions d'une coexistence pacifique dans un avenir proche. Et pour que les générations futures puissent espérer, pardonner et faire preuve de compassion. Ce processus fondamental est indispensable pour que nous puissions tous vivre en paix.
Bien que je critique la réaction de l'armée israélienne, j'ai beaucoup de respect pour les habitants d'Israël et une profonde empathie face aux pertes qu'ils ont subies. Certains nous accusent aujourd'hui, ma femme et moi, d'être antisémites - l'antithèse de ce que nous sommes en tant qu'êtres humains. Nous détestons l'antisémitisme, tout autant que les conséquences horribles et tragiques de cette guerre.
Mes parents m'ont appris à m'opposer à toute forme de violence, et aux souffrances humaines qui en découlent, indépendamment de toute religion, ethnie ou frontière. Trop de Palestiniennes innocentes ont perdu leurs enfants au cours de ce conflit. Trop d'Israéliennes innocentes partagent leur douleur. Aucun calcul politique ne peut justifier tant de souffrance, d'un côté comme de l'autre. J'espère que les dirigeants impliqués dans ce combat difficile entendront l'appel du Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon: "Au nom de l'humanité, il faut que cesse cette violence".
Les Palestiniens et les Israéliens de la région, ainsi que leurs enfants innocents, ont droit à la reconnaissance et au respect de leur sécurité et de leurs droits, afin de créer les conditions d'une coexistence pacifique dans un avenir proche. Et pour que les générations futures puissent espérer, pardonner et faire preuve de compassion. Ce processus fondamental est indispensable pour que nous puissions tous vivre en paix.
LIRE AUSSI:
Retrouvez les blogs du HuffPost Maghreb sur notre page Facebook.