Ce n'est pas nouveau. Les relations entre Barack Obama et Benjamin Netanyahu sont tendues depuis Mars 2010. Le ministre de l'Intérieur israélien avait annoncé la construction de 1600 nouvelles habitations à Jérusalem Est au moment où Joe Biden, le vice président américain, était en Israël et alors même que les Etats-Unis avaient demandé à l'état hébreu de stopper la colonisation.
Une nouvelle tension vient de s'ajouter à la liste vu que la Maison Blanche a donné pour instruction au Pentagone de geler une livraison de missiles Hellfire pour les hélicoptères Apache israéliens.
Le département d'Etat a reconnu que l'administration américaine observait de près ses expéditions d'armements vers Israël tout en soulignant que cela n'avait "rien d'inhabituel... étant donné la crise à Gaza".
Certains politiques et éditorialistes s'alarment de ce qu'un renforcement des contrôles américains impliquerait pour les délais de livraison, et plus généralement de ce que cela semble dire de la dégradation des liens israélo-américains.
Le président Barack Obama et le Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui travaillent ensemble depuis plus de cinq ans sans passer pour les meilleurs amis du monde, ont eu mercredi une conversation téléphonique dont la Maison Blanche a fourni un compte rendu très succinct. Les deux ministres de la Défense se sont également parlé.
Selon Haaretz, les Israéliens s'emploient à dissiper les tensions et à obtenir la levée des restrictions à la livraison d'armes. "Nous discutons avec eux pour essayer de rétablir la situation", dit un haut responsable cité par le journal.
Au milieu des déclarations exacerbées par la guerre et des vives attaques de responsables israéliens contre des personnalités américaines comme le secrétaire d'Etat John Kerry, M. Netanyahu a assuré que le soutien de Washington à Israël avait été "formidable".
L'administration américaine a constamment invoqué le droit d'Israël à se défendre contre les tirs de roquettes et dénoncé la responsabilité du Hamas. Publiquement, elle a aussi appelé l'armée israélienne à veiller à protéger les populations civiles.
Mais les souffrances des civils et une frappe sur une école de l'ONU (dix morts) ont poussé les Etats-Unis à se départir exceptionnellement de leur retenue et à se dire "consternés" par un "bombardement honteux".
Une nouvelle tension vient de s'ajouter à la liste vu que la Maison Blanche a donné pour instruction au Pentagone de geler une livraison de missiles Hellfire pour les hélicoptères Apache israéliens.
Le département d'Etat a reconnu que l'administration américaine observait de près ses expéditions d'armements vers Israël tout en soulignant que cela n'avait "rien d'inhabituel... étant donné la crise à Gaza".
Certains politiques et éditorialistes s'alarment de ce qu'un renforcement des contrôles américains impliquerait pour les délais de livraison, et plus généralement de ce que cela semble dire de la dégradation des liens israélo-américains.
Le président Barack Obama et le Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui travaillent ensemble depuis plus de cinq ans sans passer pour les meilleurs amis du monde, ont eu mercredi une conversation téléphonique dont la Maison Blanche a fourni un compte rendu très succinct. Les deux ministres de la Défense se sont également parlé.
Selon Haaretz, les Israéliens s'emploient à dissiper les tensions et à obtenir la levée des restrictions à la livraison d'armes. "Nous discutons avec eux pour essayer de rétablir la situation", dit un haut responsable cité par le journal.
Au milieu des déclarations exacerbées par la guerre et des vives attaques de responsables israéliens contre des personnalités américaines comme le secrétaire d'Etat John Kerry, M. Netanyahu a assuré que le soutien de Washington à Israël avait été "formidable".
L'administration américaine a constamment invoqué le droit d'Israël à se défendre contre les tirs de roquettes et dénoncé la responsabilité du Hamas. Publiquement, elle a aussi appelé l'armée israélienne à veiller à protéger les populations civiles.
Mais les souffrances des civils et une frappe sur une école de l'ONU (dix morts) ont poussé les Etats-Unis à se départir exceptionnellement de leur retenue et à se dire "consternés" par un "bombardement honteux".
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