L'Egypte a démenti "catégoriquement" dimanche avoir bombardé des positions de milices islamistes libyennes engagées dans la bataille pour le contrôle de l'aéroport de Tripoli, comme ces dernières en ont accusé Le Caire.
Samedi, un porte-parole de miliciens islamistes avait accusé l'Egypte et les Emirats Arabes unis d'être responsables de l'envoi d'avions de combat non identifiés cette semaine dans au moins deux raids nocturnes contre leurs positions près de l'aéroport de la capitale libyenne.
Le général dissident Khalifa Haftar, hostile aux islamistes et favorables à leurs adversaires de Zenten, avait revendiqué le premier raid aérien, mais des spécialistes ont mis en doute sa capacité à mener de telles attaques.
Selon ces experts, les avions dont dispose le général Haftar, basé à Benghazi, à 1.000 km à l'est de Tripoli, n'ont pas l'autonomie suffisante pour lancer de tels raids et ne sont pas équipés, de surcroît, pour opérer de nuit.
"L'Egypte dément catégoriquement les informations de presse sur des bombardements par des avions de combat égyptiens de positions contrôlées par des milices islamistes armées dans la capitale libyenne Tripoli", a affirmé dans un communiqué le ministère égyptien des Affaires étrangères.
Samedi, un porte-parole de miliciens islamistes avait accusé l'Egypte et les Emirats Arabes unis d'être responsables de l'envoi d'avions de combat non identifiés cette semaine dans au moins deux raids nocturnes contre leurs positions près de l'aéroport de la capitale libyenne.
Le général dissident Khalifa Haftar, hostile aux islamistes et favorables à leurs adversaires de Zenten, avait revendiqué le premier raid aérien, mais des spécialistes ont mis en doute sa capacité à mener de telles attaques.
Selon ces experts, les avions dont dispose le général Haftar, basé à Benghazi, à 1.000 km à l'est de Tripoli, n'ont pas l'autonomie suffisante pour lancer de tels raids et ne sont pas équipés, de surcroît, pour opérer de nuit.
"L'Egypte dément catégoriquement les informations de presse sur des bombardements par des avions de combat égyptiens de positions contrôlées par des milices islamistes armées dans la capitale libyenne Tripoli", a affirmé dans un communiqué le ministère égyptien des Affaires étrangères.
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