Google a annoncé jeudi 28 août expérimenter un service de livraisons par drones, projet sur lequel travaille également le géant du commerce en ligne Amazon.
Deux ans de recherche sur ce que Google a baptisé le "Project Wing" ont été couronnés par plusieurs vols en août de drones qui ont livré des bonbons, de l'eau, des médicaments et de la nourriture pour chien à deux fermiers de Queensland, en Australie.
Astro Teller, directeur les laboratoires de Google X, a par ailleurs indiqué au Parisien que la mise en place effective de ce système devrait prendre encore deux ans. "D’ici deux ans, on pourra se faire livrer par les airs. Nous espérons réaliser à cette date un test grandeur nature. Pas à Paris, mais dans une agglomération plus petite, où nous pourrons démontrer que nous apportons une vraie valeur ajoutée aux habitants. Puis, nous nous étendrons lentement, que ce soit pour les villes concernées ou les marchandises livrées", a-t-il expliqué.
Amazon déjà plus avancé
"Les engins volants autonomes pourraient bien ouvrir de nouvelles perspectives pour le marché de la livraison", a déclaré la société californienne dans un blog en comparant ce projet à celui de la voiture intelligente auquel le géant d'internet travaille depuis plus de cinq ans.
Le mois dernier, Amazon a demandé l'autorisation d'expérimenter des livraisons par drones dans le ciel américain. La société a fait valoir auprès des autorités de l'aviation américaine que l'assouplissement des règles servirait "l'intérêt des consommateurs" et qu'elles constituaient "une étape nécessaire" pour la réalisation du projet Amazon Prime Air.
Jeff Bezos avait dévoilé ce projet en décembre dernier, affirmant qu'il serait prêt à entrer en service dès 2015 si les autorités américaines l'autorisaient. Amazon avait ainsi précisé être capable de faire voler des drones à plus de 80 km/h tout en portant jusqu'à 2,2 kg de marchandises.
Deux ans de recherche sur ce que Google a baptisé le "Project Wing" ont été couronnés par plusieurs vols en août de drones qui ont livré des bonbons, de l'eau, des médicaments et de la nourriture pour chien à deux fermiers de Queensland, en Australie.
Astro Teller, directeur les laboratoires de Google X, a par ailleurs indiqué au Parisien que la mise en place effective de ce système devrait prendre encore deux ans. "D’ici deux ans, on pourra se faire livrer par les airs. Nous espérons réaliser à cette date un test grandeur nature. Pas à Paris, mais dans une agglomération plus petite, où nous pourrons démontrer que nous apportons une vraie valeur ajoutée aux habitants. Puis, nous nous étendrons lentement, que ce soit pour les villes concernées ou les marchandises livrées", a-t-il expliqué.
Amazon déjà plus avancé
"Les engins volants autonomes pourraient bien ouvrir de nouvelles perspectives pour le marché de la livraison", a déclaré la société californienne dans un blog en comparant ce projet à celui de la voiture intelligente auquel le géant d'internet travaille depuis plus de cinq ans.
Le mois dernier, Amazon a demandé l'autorisation d'expérimenter des livraisons par drones dans le ciel américain. La société a fait valoir auprès des autorités de l'aviation américaine que l'assouplissement des règles servirait "l'intérêt des consommateurs" et qu'elles constituaient "une étape nécessaire" pour la réalisation du projet Amazon Prime Air.
Jeff Bezos avait dévoilé ce projet en décembre dernier, affirmant qu'il serait prêt à entrer en service dès 2015 si les autorités américaines l'autorisaient. Amazon avait ainsi précisé être capable de faire voler des drones à plus de 80 km/h tout en portant jusqu'à 2,2 kg de marchandises.
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