Enfermés à Guantanamo depuis 2002, une vingtaine de prisonniers attendent la signature du Pentagone qui déclenchera leur libération, selon des sources proches du dossier.
En juin 2014, un haut responsable américain annonçait "des progrès substantiels cette année" vers la fermeture de la prison que le président Barack Obama réclame.
Ils ont été 79 sur les 149 détenus encore incarcérés à Guantanamo à avoir obtenu une "approbation pour transfert", car les autorités américaines ont jugé qu'ils ne représentaient plus une menace pour la sécurité des Etats-Unis. La plupart des prisonniers ont appris dès 2009 ou 2010 qu'ils ne seraient jamais inculpés et qu'ils pourraient être rapatriés ou envoyés dans un pays tiers.
Des sources de l'administration Obama ont confirmé à l'AFP qu’au cours des derniers mois, les responsables américains ont scellé des accords pour la libération rapide de 24 d'entre eux. Seulement pour Andrea Prasow, de l'organisation Human Rights Watch, "ce problème s'est posé pour trois secrétaires à la Défense successifs" qui se sont montrés "réticents à endosser la responsabilité personnelle de ce qui pourrait se passer".
Parmi ceux qui attendent leur libération, le Mauritanien Ahmed Abdel Aziz, 44 ans, qui aurait été arrêté en 2002 par les autorités pakistanaises et remis aux Etats-Unis contre une récompense. Abdel Aziz a toujours démenti les accusations de liens avec Al-Qaïda et il n'a jamais été inculpé.
"Nous œuvrons activement au transfert de chacun des 79 détenus approuvés", a confirmé Ian Moss, porte-parole de l'envoyé spécial en charge de Guantanamo au département d'Etat, Cliff Sloan, soulignant que Washington restait "absolument déterminé" à fermer la prison.
Pourtant, depuis 2002, les prisonniers ne sont toujours pas sortis de cette prison de Guantanamo, qui se trouve sur un territoire de Cuba abritant une base navale américaine.
En juin 2014, un haut responsable américain annonçait "des progrès substantiels cette année" vers la fermeture de la prison que le président Barack Obama réclame.
Ils ont été 79 sur les 149 détenus encore incarcérés à Guantanamo à avoir obtenu une "approbation pour transfert", car les autorités américaines ont jugé qu'ils ne représentaient plus une menace pour la sécurité des Etats-Unis. La plupart des prisonniers ont appris dès 2009 ou 2010 qu'ils ne seraient jamais inculpés et qu'ils pourraient être rapatriés ou envoyés dans un pays tiers.
Des sources de l'administration Obama ont confirmé à l'AFP qu’au cours des derniers mois, les responsables américains ont scellé des accords pour la libération rapide de 24 d'entre eux. Seulement pour Andrea Prasow, de l'organisation Human Rights Watch, "ce problème s'est posé pour trois secrétaires à la Défense successifs" qui se sont montrés "réticents à endosser la responsabilité personnelle de ce qui pourrait se passer".
Parmi ceux qui attendent leur libération, le Mauritanien Ahmed Abdel Aziz, 44 ans, qui aurait été arrêté en 2002 par les autorités pakistanaises et remis aux Etats-Unis contre une récompense. Abdel Aziz a toujours démenti les accusations de liens avec Al-Qaïda et il n'a jamais été inculpé.
"Nous œuvrons activement au transfert de chacun des 79 détenus approuvés", a confirmé Ian Moss, porte-parole de l'envoyé spécial en charge de Guantanamo au département d'Etat, Cliff Sloan, soulignant que Washington restait "absolument déterminé" à fermer la prison.
Pourtant, depuis 2002, les prisonniers ne sont toujours pas sortis de cette prison de Guantanamo, qui se trouve sur un territoire de Cuba abritant une base navale américaine.
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