La coalition de l'opposition syrienne a favorablement accueilli jeudi la stratégie détaillée par le président Barack Obama contre les jihadistes de l'Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak, tout en appelant à agir aussi contre le régime du président Bachar al-Assad.
Dans un communiqué, elle a apporté son soutien au plan d'action de Barack Obama qui n'exclut pas des frappes sur des positions de l'EI en Syrie et prévoit un entraînement des rebelles. L'opposition a souligné avoir "durant longtemps réclamé une telle action contre l'EI et mis en garde contre la menace grandissante de ce groupe extrémiste".
L'armée syrienne libre, le bras armé de l'opposition, "peut réussir mais a besoin d'aide pour devenir une force crédible et bien équipée", a-t-elle ajouté. L'opposition a néanmoins souligné qu'il était essentiel de "réaliser que le régime Assad est à l'origine de la violence, de la brutalité et du sens de l'impunité prévalant en Syrie".
Lutter contre le "seul" EI "ne peut apporter la stabilité à la région ni la libérer des extrémistes. Il faudra affaiblir et au définitif renverser le régime répressif d'Assad qui est prêt à déstabiliser la région entière dans le seul but de se maintenir au pouvoir", a encore dit l'opposition.
Le régime syrien cherche à se présenter comme un partenaire dans la lutte contre les jihadistes, et insiste que toute action militaire sur son territoire doit se faire en coordination avec lui. Mais Obama a écarté toute coopération avec le régime Assad "illégitime" à ses yeux.
Le secrétaire d'Etat John Kerry a mobilisé jeudi les alliés des Etats-Unis au Moyen-Orient, lors d'une réunion arabo-américaine à Jeddah, afin de mettre en oeuvre la stratégie du président Barack Obama déterminé à "détruire" les jihadistes de l'Etat islamique (EI), en Irak comme en Syrie.
Dans un communiqué, elle a apporté son soutien au plan d'action de Barack Obama qui n'exclut pas des frappes sur des positions de l'EI en Syrie et prévoit un entraînement des rebelles. L'opposition a souligné avoir "durant longtemps réclamé une telle action contre l'EI et mis en garde contre la menace grandissante de ce groupe extrémiste".
L'armée syrienne libre, le bras armé de l'opposition, "peut réussir mais a besoin d'aide pour devenir une force crédible et bien équipée", a-t-elle ajouté. L'opposition a néanmoins souligné qu'il était essentiel de "réaliser que le régime Assad est à l'origine de la violence, de la brutalité et du sens de l'impunité prévalant en Syrie".
Lutter contre le "seul" EI "ne peut apporter la stabilité à la région ni la libérer des extrémistes. Il faudra affaiblir et au définitif renverser le régime répressif d'Assad qui est prêt à déstabiliser la région entière dans le seul but de se maintenir au pouvoir", a encore dit l'opposition.
Le régime syrien cherche à se présenter comme un partenaire dans la lutte contre les jihadistes, et insiste que toute action militaire sur son territoire doit se faire en coordination avec lui. Mais Obama a écarté toute coopération avec le régime Assad "illégitime" à ses yeux.
Le secrétaire d'Etat John Kerry a mobilisé jeudi les alliés des Etats-Unis au Moyen-Orient, lors d'une réunion arabo-américaine à Jeddah, afin de mettre en oeuvre la stratégie du président Barack Obama déterminé à "détruire" les jihadistes de l'Etat islamique (EI), en Irak comme en Syrie.
LIRE AUSSI: Coalition contre l'Etat Islamique: réunion arabo-américaine "sur le terrorisme" jeudi à Jeddah
Retrouvez les articles du HuffPost Maghreb sur notre page Facebook.