Publiée par le HuffPost Maghreb, une information AFP rapportait, samedi 20 septembre, "l'allégeance" du groupe armé tunisien "Phalange Okba Ibn Nafaâ" à l'Etat Islamique (EI), s'appuyant sur un rapport du centre américain de surveillance des sites islamistes SITE.
Dimanche 21 septembre, l'AFP a corrigé son information, remplaçant le terme "d'allégeance" par celui de "soutien".
Une erreur de traduction de SITE aurait été à l'origine de la confusion, annonce l'agence de presse.
"Les frères moujahidine de Okba Ibn Nafaâ (...) appuient et soutiennent fortement l'Etat islamique et l'appellent à avancer en passant les frontières et en écrasant partout les trônes des tyrans", indique la traduction corrigée du communiqué publié par le groupe tunisien.
La Tunisie pourchasse depuis près de deux ans les combattants de la "Phalange Okba Ibn Nafaâ" dans les massifs montagneux à la frontière tuniso-algérienne, notamment le mont Chaambi considéré comme le fief du groupe jihadiste.
Dimanche 21 septembre, l'AFP a corrigé son information, remplaçant le terme "d'allégeance" par celui de "soutien".
Une erreur de traduction de SITE aurait été à l'origine de la confusion, annonce l'agence de presse.
"Les frères moujahidine de Okba Ibn Nafaâ (...) appuient et soutiennent fortement l'Etat islamique et l'appellent à avancer en passant les frontières et en écrasant partout les trônes des tyrans", indique la traduction corrigée du communiqué publié par le groupe tunisien.
La Tunisie pourchasse depuis près de deux ans les combattants de la "Phalange Okba Ibn Nafaâ" dans les massifs montagneux à la frontière tuniso-algérienne, notamment le mont Chaambi considéré comme le fief du groupe jihadiste.
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