L'ex-patron du FMI (Fonds Monétaire International), le français Dominique Strauss-Kahn, était en visite en Tunisie pour participer à une conférence économique internationale intitulée "la place de la Tunisie dans un monde en pleine mutations économiques", organisée par l'Institut des Hautes Etudes de Tunis (IHET) et l'Association Tunisienne de Gouvernance, et intitulée.
En visite en Tunisie, Dominique Strauss-Kahn a déclaré mardi que "l'incertitude politique pesait lourdement sur l'activité économique en Tunisie".
"Si le processus de la transition politique doit avancer rapidement et dans le calme, il est indispensable de lancer en parallèle des réformes économiques audacieuses", a-t-il soutenu.
Homme politique français et ex-patron du FMI, M. Strauss-Kahn participait à Tunis à une conférence internationale sur "La place de la Tunisie dans un monde en pleines mutations économiques".
Lors de son intervention, il a affirmé que le pays était confronté à un problème central lié au manque de confiance, d'où "l'impératif de rétablir la confiance aussi bien avec les hommes d'affaires nationaux qu'avec les bailleurs de fonds, les institutions internationales et les investisseurs étrangers, et ce, en parachevant le processus de la transition politique avec la mise en place d'un gouvernement stable".
Il a par ailleurs appelé les décideurs économiques à transformer les risques du pays en opportunités à saisir.
"La Tunisie est actuellement à la croisée des chemins et doit trouver de grands alliés financiers, capables de la soutenir durant cette phase critique. En contrepartie, ces alliés seront les premiers à profiter, des nouvelles opportunités d'investissement et d'affaires, en cas de réussite de nouveau modèle économique tunisien", a-t-il dit.
Pour Strauss-Kahn, la Tunisie a également intérêt à développer ses relations économiques avec les pays du Maghreb.
Il a recommandé, en outre, de tirer profit de l'ampleur de l'économie informelle en Tunisie, en œuvrant à réintégrer cette économie progressivement dans la sphère formelle. Cela permettrait de gagner des points supplémentaires de croissance et améliorer l'image du pays à l'étranger.
Evoquant le FMI, il a assuré que le Fonds international jouait le rôle d'un "docteur" qui n'intervient qu'à la demande du patient.
"Ce docteur essaye de diagnostiquer les symptômes pour parvenir à trouver les traitements adéquats, et c'est au patient de se conformer ou non à ses prescriptions", a affirmé l'ancien directeur du FMI.
En visite en Tunisie, Dominique Strauss-Kahn a déclaré mardi que "l'incertitude politique pesait lourdement sur l'activité économique en Tunisie".
"Si le processus de la transition politique doit avancer rapidement et dans le calme, il est indispensable de lancer en parallèle des réformes économiques audacieuses", a-t-il soutenu.
Homme politique français et ex-patron du FMI, M. Strauss-Kahn participait à Tunis à une conférence internationale sur "La place de la Tunisie dans un monde en pleines mutations économiques".
Lors de son intervention, il a affirmé que le pays était confronté à un problème central lié au manque de confiance, d'où "l'impératif de rétablir la confiance aussi bien avec les hommes d'affaires nationaux qu'avec les bailleurs de fonds, les institutions internationales et les investisseurs étrangers, et ce, en parachevant le processus de la transition politique avec la mise en place d'un gouvernement stable".
Il a par ailleurs appelé les décideurs économiques à transformer les risques du pays en opportunités à saisir.
"La Tunisie est actuellement à la croisée des chemins et doit trouver de grands alliés financiers, capables de la soutenir durant cette phase critique. En contrepartie, ces alliés seront les premiers à profiter, des nouvelles opportunités d'investissement et d'affaires, en cas de réussite de nouveau modèle économique tunisien", a-t-il dit.
Pour Strauss-Kahn, la Tunisie a également intérêt à développer ses relations économiques avec les pays du Maghreb.
Il a recommandé, en outre, de tirer profit de l'ampleur de l'économie informelle en Tunisie, en œuvrant à réintégrer cette économie progressivement dans la sphère formelle. Cela permettrait de gagner des points supplémentaires de croissance et améliorer l'image du pays à l'étranger.
Evoquant le FMI, il a assuré que le Fonds international jouait le rôle d'un "docteur" qui n'intervient qu'à la demande du patient.
"Ce docteur essaye de diagnostiquer les symptômes pour parvenir à trouver les traitements adéquats, et c'est au patient de se conformer ou non à ses prescriptions", a affirmé l'ancien directeur du FMI.
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