Le ministère public près le Tribunal de première instance de Tunis a diligenté vendredi une information judiciaire sur des présomptions de faux parrainages au profit de candidats à l'élection présidentielle.
Le parquet a annoncé dans un communiqué avoir "entrepris des investigations préliminaires, à la lumière de quoi il a été décidé, le 2 octobre, d'ouvrir une information judiciaire, confiée à un juge d'instruction du tribunal pour faux et usage de faux, divulgation délibérée de données personnelles aux fins d'en tirer un avantage personnel ou pour le compte d'un tiers ou dans le but de porter préjudice à l'intéressé et complicité".
Le parquet a expliqué dans le même communiqué que sa décision intervenait à la suite d'une plainte du président de l'Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) Chafik Sarsar, qui a saisi le ministère public sur la base de présomptions d'utilisation, par un candidat à l'élection présidentielle, de listes de parrainages présumées falsifiées.
Par ailleurs, l'ISIE a mis en place un service mobile permettant de savoir si une personne aurait parrainé un candidat à son insu.
De nombreux cas d'irrégularités ont alors été révélés et des plaintes déposées.
Le parquet a annoncé dans un communiqué avoir "entrepris des investigations préliminaires, à la lumière de quoi il a été décidé, le 2 octobre, d'ouvrir une information judiciaire, confiée à un juge d'instruction du tribunal pour faux et usage de faux, divulgation délibérée de données personnelles aux fins d'en tirer un avantage personnel ou pour le compte d'un tiers ou dans le but de porter préjudice à l'intéressé et complicité".
Le parquet a expliqué dans le même communiqué que sa décision intervenait à la suite d'une plainte du président de l'Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) Chafik Sarsar, qui a saisi le ministère public sur la base de présomptions d'utilisation, par un candidat à l'élection présidentielle, de listes de parrainages présumées falsifiées.
Par ailleurs, l'ISIE a mis en place un service mobile permettant de savoir si une personne aurait parrainé un candidat à son insu.
De nombreux cas d'irrégularités ont alors été révélés et des plaintes déposées.
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