"L'Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT) appelle le peuple tunisien à voter massivement", a déclaré mardi le secrétaire général de l'union, Houcine Abassi à l'agence TAP
Début août, l'UGTT avait interdit à ses membres de se présenter aux élections législatives sous la bannière de l'organisation, laquelle souhaite rester à égale distance entre les partis.
L'UGTT "ne peut en aucun cas abandonner son rôle national pour devenir un simple candidat en lice", a répété Abassi. "L'UGTT n'est pas un parti".
Le président du syndicat a notamment rappelé le rôle de médiateur de l'organisation lors de la crise politique de 2013. L'UGTT avait été suggérée au prix Nobel de la paix 2014.
"Quand le danger guette le pays, l'économie est sérieusement ébranlée, la situation sociale est détériorée, l'Union intervient pour instaurer un dialogue entre différents partis afin de préserver l'intérêt suprême du pays", a insisté Houcine Abassi.
L'Union appelle par ailleurs les partis à s'adresser au peuple avec un discours rationnel et à élaborer des programmes réalisables, a indiqué Abassi, soulignant que plusieurs promesses faites lors de cette campagne électorale ne sont pas réalistes.
"Nous aiderons tout gouvernement choisi par le peuple et nous serons constamment en veille pour intervenir si nécessaire", a-t-il avancé.
La centrale syndicale ne restera toutefois pas entièrement passive lors des élections. L'UGTT a récemment mis en place un Observatoire permanent pour la surveillance des élections, en partenariat avec l’Institut arabe des droits de l’Homme, la Ligue des droits de l’Homme, l'UTICA et l’Ordre des avocats.
Si le mécanisme regroupe environ 14,000 observateurs, l'Observatoire ne pourra en revanche pas couvrir toutes les circonscriptions en 2014, mais sera tout à fait opérationnel pour les municipales prévues pour 2015, a annoncé Abassi.
Début août, l'UGTT avait interdit à ses membres de se présenter aux élections législatives sous la bannière de l'organisation, laquelle souhaite rester à égale distance entre les partis.
L'UGTT "ne peut en aucun cas abandonner son rôle national pour devenir un simple candidat en lice", a répété Abassi. "L'UGTT n'est pas un parti".
Le président du syndicat a notamment rappelé le rôle de médiateur de l'organisation lors de la crise politique de 2013. L'UGTT avait été suggérée au prix Nobel de la paix 2014.
"Quand le danger guette le pays, l'économie est sérieusement ébranlée, la situation sociale est détériorée, l'Union intervient pour instaurer un dialogue entre différents partis afin de préserver l'intérêt suprême du pays", a insisté Houcine Abassi.
L'Union appelle par ailleurs les partis à s'adresser au peuple avec un discours rationnel et à élaborer des programmes réalisables, a indiqué Abassi, soulignant que plusieurs promesses faites lors de cette campagne électorale ne sont pas réalistes.
"Nous aiderons tout gouvernement choisi par le peuple et nous serons constamment en veille pour intervenir si nécessaire", a-t-il avancé.
La centrale syndicale ne restera toutefois pas entièrement passive lors des élections. L'UGTT a récemment mis en place un Observatoire permanent pour la surveillance des élections, en partenariat avec l’Institut arabe des droits de l’Homme, la Ligue des droits de l’Homme, l'UTICA et l’Ordre des avocats.
Si le mécanisme regroupe environ 14,000 observateurs, l'Observatoire ne pourra en revanche pas couvrir toutes les circonscriptions en 2014, mais sera tout à fait opérationnel pour les municipales prévues pour 2015, a annoncé Abassi.
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