1966. Albertine Sarrazin (à gauche), 28 ans dont huit derrière les barreaux, le phénomène littéraire du milieu des années soixante est à Tunis. Elle vient recevoir des mains du président Bourguiba le "Prix des Quatre-Jurys", (Goncourt, Femina, Renaudot, Interallié) pour son roman "L’Astragale". Un ton magnifique, un style saisissant dira d’elle Simone de Beauvoir.
Elle est ici avec la très élégante Manuèle Peyrol, l’une des plus belles signatures de la revue Carthage, éditée par Cérès. Manuèle Peyrol, correspondante du quotidien Le Monde, publiera plusieurs romans dont "Dames à l’ouvrage", une évocation du milieu littéraire français qui lui a été inspiré par le jury venu à Tunis décerner son prix à Albertine Sarrazin.
Manuèle est la mère de l’artiste peintre Féryel Lakhdar.
© Photothèque des éditions Cérès
50 ans, 50 photos, en partenariat avec Cérès.
Elle est ici avec la très élégante Manuèle Peyrol, l’une des plus belles signatures de la revue Carthage, éditée par Cérès. Manuèle Peyrol, correspondante du quotidien Le Monde, publiera plusieurs romans dont "Dames à l’ouvrage", une évocation du milieu littéraire français qui lui a été inspiré par le jury venu à Tunis décerner son prix à Albertine Sarrazin.
Manuèle est la mère de l’artiste peintre Féryel Lakhdar.
50 ans, 50 photos, en partenariat avec Cérès.
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