Dans une déclaration accordée aujourd'hui à Mosaique FM, Abdelhamid Jelassi, vice-président du parti Ennahdha en charge du processus électoral, a déclaré que son parti était encore à la recherche du candidat à soutenir lors de la prochaine élection présidentielle qui se tiendra le 23 novembre prochain.
"Nous ne voulons pas d'hégémonie (...) et nous allons chercher le candidat à même de réaliser les objectifs de la révolution", a-t-il affirmé.
Abdelhamid Jelassi cite ainsi cinq candidats à la présidentielle qui pourraient obtenir le soutien d'Ennahdha:
Le président d'Ennahdha, Rached Ghannouchi, a estimé jeudi que la Tunisie ne pouvait pas être gouvernée par un parti détenteur de 51% des voix, elle ne peut être gouvernée que par un consensus".
"Nous avons des craintes concernant le retour d'un parti unique , nous sommes contre l’hégémonie d'un seul parti sur les institutions de l'Etat", a-t-il avoué.
En juin dernier, Ennahdha avait proposé aux partis politiques d'entrer en concertation pour un consensus sur la candidature à la présidentielle. .Une proposition rapidement rejetée par plusieurs partis.
Le bureau exécutif d'Ennahdha se réunira demain pour étudier la question, avant que le Conseil de la Choura ne se réunisse dimanche et lundi pour trancher, a encore indiqué M. Jelassi. ,
La campagne pour l'élection présidentielle débute samedi. Le premier tour du scrutin doit se dérouler le 23 novembre prochain.
"Nous ne voulons pas d'hégémonie (...) et nous allons chercher le candidat à même de réaliser les objectifs de la révolution", a-t-il affirmé.
Abdelhamid Jelassi cite ainsi cinq candidats à la présidentielle qui pourraient obtenir le soutien d'Ennahdha:
- Moncef Marzouki, candidat à sa succession
- Mustapha Ben Jaâfer, président de l'Assemblée constituante et leader d'Ettakatol
- Ahmed Néjib Chebbi, candidat d'Al Joumhouri
- Hammouda Ben Slama, ancien ministre de la Jeunesse et des Sports sous l’ancien régime de Ben Ali, membre fondateur du MDS (Mouvement des Démocrates Socialistes) et de la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme (LTDH)
- Abderrazek Kilani, ex-ministre ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé des relations avec l'Assemblée Nationale Constituante et ancien bâtonnier de l'ordre national des avocats en Tunisie.
Le président d'Ennahdha, Rached Ghannouchi, a estimé jeudi que la Tunisie ne pouvait pas être gouvernée par un parti détenteur de 51% des voix, elle ne peut être gouvernée que par un consensus".
"Nous avons des craintes concernant le retour d'un parti unique , nous sommes contre l’hégémonie d'un seul parti sur les institutions de l'Etat", a-t-il avoué.
En juin dernier, Ennahdha avait proposé aux partis politiques d'entrer en concertation pour un consensus sur la candidature à la présidentielle. .Une proposition rapidement rejetée par plusieurs partis.
Le bureau exécutif d'Ennahdha se réunira demain pour étudier la question, avant que le Conseil de la Choura ne se réunisse dimanche et lundi pour trancher, a encore indiqué M. Jelassi. ,
La campagne pour l'élection présidentielle débute samedi. Le premier tour du scrutin doit se dérouler le 23 novembre prochain.
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