Ain El Fouara ne se sent pas esseulée ces jours-ci. Les enfants de Sétif ont choisi de se préparer pour le sacre africain non loin de cette fontaine, porte-chance de la ville.
Bons vivants et croyants à leur bonne étoile, les sétifois, ne lésinent pas sur les moyens pour fêter cet événement en attendant l’heure H.
Depuis la fin de la semaine, l’avenue du 08 mais 1945 tout comme celle de Moustapha Ben Boulaïd ne désemplissent pas. Fanions, drapeaux, maillots, chapeau, CD, fumigènes et même tickets vendus au marché noir. C’est le commerce le plus lucratif ces jours-ci à Sétif.
Ceux qui n’ont pas eu la chance de se procurer un des 15 000 billets vendus à Sétif ce 30 octobre, n’ont pas hésité à mettre la main à la poche et de payer des prix qui ont atteint vendredi sept fois leur prix officiel.
Les banderoles parent les principales artères de la ville et les sétifois voient déjà leurs "aigles noirs planer très haut".
Vêtus en noir et blanc, les couleurs de leur club, les jeunes qui défilent tout au log de la journée jurent que "la coupe sera sans le moindre doute dans la soirée à Ain El Fouara".
Ambiance des grands jours, on pronostique déjà les scores. On se voit vainqueurs par des écarts confortables. "Les joueurs du Vita Club, congolais n’auraient aucune chance", si l’ont se fiaient aux supporters des aigles noirs. Les enfants de Ain El Fouara rêvent tellement du sacre africain, qu’ils se voient vainqueurs avant même le début du match.
Les plus avertis, bien qu’amusés par cet enthousiasme juvénile, croient que même si «l’Entente sportive de Sétif (ESS) est favorite pour être sacrée championne de la ligue africaine », recommandent «la prudence. Rien n’est gagné d’avance et le match sera dur à gérer».
Les 15 000 chanceux en possession des fameux billets n’ont pris le départ vers Blida que ce matin. Les autres, ils étaient contraints de faire le déplacement jusqu’à Blida vendredi pour tenter de s’en procurer au stade Mustapha Tchaker.
Là aussi, ils ont du » payer leurs places au marché noir ». Mais qu’importent « la fatigue et les 2500 dinars, si les noirs et blancs inscrivent une nouvelle page de gloire en ce premier novembre».
Setif retient son souffle. Toute l’Algérie en fait autant. Les algériens assoiffés de fêtes, rêvent tous de ce match.
A moins de 5 heures du début du match retour de la finale de la champion league africaine, on croit tenir ce sacre et on ne rêve que du moment où les poulains de Khiereddine Madoui soulèveront cette fameuse coupe.
Côté joueurs, on sait depuis le match nul arraché à Kinshasa, que les 90 minutes à disputer ce 1 er novembre, seront les plus longues de leurs carrières.
Le 11 sétifien qui affronteront le Vitta Club congolais à 19h :30, ce soir à Blida, portent une lourde responsabilité. Les aigles noirs savent qu’ils n’ont pas d’autre choix que de planer dans le ciel africain.
Bons vivants et croyants à leur bonne étoile, les sétifois, ne lésinent pas sur les moyens pour fêter cet événement en attendant l’heure H.
Depuis la fin de la semaine, l’avenue du 08 mais 1945 tout comme celle de Moustapha Ben Boulaïd ne désemplissent pas. Fanions, drapeaux, maillots, chapeau, CD, fumigènes et même tickets vendus au marché noir. C’est le commerce le plus lucratif ces jours-ci à Sétif.
Ceux qui n’ont pas eu la chance de se procurer un des 15 000 billets vendus à Sétif ce 30 octobre, n’ont pas hésité à mettre la main à la poche et de payer des prix qui ont atteint vendredi sept fois leur prix officiel.
Les banderoles parent les principales artères de la ville et les sétifois voient déjà leurs "aigles noirs planer très haut".
Vêtus en noir et blanc, les couleurs de leur club, les jeunes qui défilent tout au log de la journée jurent que "la coupe sera sans le moindre doute dans la soirée à Ain El Fouara".
Ambiance des grands jours, on pronostique déjà les scores. On se voit vainqueurs par des écarts confortables. "Les joueurs du Vita Club, congolais n’auraient aucune chance", si l’ont se fiaient aux supporters des aigles noirs. Les enfants de Ain El Fouara rêvent tellement du sacre africain, qu’ils se voient vainqueurs avant même le début du match.
Les plus avertis, bien qu’amusés par cet enthousiasme juvénile, croient que même si «l’Entente sportive de Sétif (ESS) est favorite pour être sacrée championne de la ligue africaine », recommandent «la prudence. Rien n’est gagné d’avance et le match sera dur à gérer».
Les 15 000 chanceux en possession des fameux billets n’ont pris le départ vers Blida que ce matin. Les autres, ils étaient contraints de faire le déplacement jusqu’à Blida vendredi pour tenter de s’en procurer au stade Mustapha Tchaker.
Là aussi, ils ont du » payer leurs places au marché noir ». Mais qu’importent « la fatigue et les 2500 dinars, si les noirs et blancs inscrivent une nouvelle page de gloire en ce premier novembre».
Setif retient son souffle. Toute l’Algérie en fait autant. Les algériens assoiffés de fêtes, rêvent tous de ce match.
A moins de 5 heures du début du match retour de la finale de la champion league africaine, on croit tenir ce sacre et on ne rêve que du moment où les poulains de Khiereddine Madoui soulèveront cette fameuse coupe.
Côté joueurs, on sait depuis le match nul arraché à Kinshasa, que les 90 minutes à disputer ce 1 er novembre, seront les plus longues de leurs carrières.
Le 11 sétifien qui affronteront le Vitta Club congolais à 19h :30, ce soir à Blida, portent une lourde responsabilité. Les aigles noirs savent qu’ils n’ont pas d’autre choix que de planer dans le ciel africain.
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