"Je veux rendre hommage à la femme tunisienne qui lave le linge et à la femme tunisienne qui s'épile les sourcils, car je pense que cette image représente réellement la femme tunisienne", a déclaré mardi Mustapha Ben Jaâfar, président de l'Assemblée constituante et candidat d'Ettakatol à la présidentielle.
Dans une interview accordée à la radio Mosaïque FM, le leader du parti Ettakatol, qui a échoué aux élections législatives en ne remportant qu'un seul siège (contre 20 en 2011), développe ces deux images de la femme tunisienne.
La première est celle qui s'occupe de son foyer, qui fait le ménage, la cuisine et s'occupe de ses enfants.
"C'est la femme qui (s'épuise) en travaillant chez elle, qui lave le linge (...), qui cuisine, qui veille la nuit pour les devoirs de ses enfants... mais sans rémunération. Et cela (...) peut être considéré comme une injustice", a estimé M. Ben Jaâfar.
"La seconde femme qui s'épile les sourcils préserve son élégance et la belle image que doit (refléter) la femme tunisienne. Moi je suis fier de ces deux femmes et je les salue", a-t-il dit.
"Je garderai cette même position sur la femme tunisienne et je suis fier de tout ce qu'elle a entrepris, de son implication et particulièrement de sa participation aux dernières élections", a conclu le candidat à la présidentielle.
Après trois années à la tête de l'Assemblée nationale constituante et l'adoption de la Constitution en janvier dernier, Mustapha Ben Jaâfar s'est porté candidat à la présidentielle qui devrait avoir lieu le 23 novembre prochain.
Après l'échec de son parti aux législatives, le leader d'Ettakatol qui avait formé une alliance avec Ennahdha et le CPR après les élections de 2011, a appelé les forces "social-démocrates" à se rassembler contre la bipolarisation de la scène politique représentée par Nida Tounes et Ennahdha. Cette initiative qui se poursuit en l'absence d'Al Joumhouri n'a toujours pas abouti au choix d'un candidat commun.
Dans une interview accordée à la radio Mosaïque FM, le leader du parti Ettakatol, qui a échoué aux élections législatives en ne remportant qu'un seul siège (contre 20 en 2011), développe ces deux images de la femme tunisienne.
La première est celle qui s'occupe de son foyer, qui fait le ménage, la cuisine et s'occupe de ses enfants.
"C'est la femme qui (s'épuise) en travaillant chez elle, qui lave le linge (...), qui cuisine, qui veille la nuit pour les devoirs de ses enfants... mais sans rémunération. Et cela (...) peut être considéré comme une injustice", a estimé M. Ben Jaâfar.
"La seconde femme qui s'épile les sourcils préserve son élégance et la belle image que doit (refléter) la femme tunisienne. Moi je suis fier de ces deux femmes et je les salue", a-t-il dit.
"Je garderai cette même position sur la femme tunisienne et je suis fier de tout ce qu'elle a entrepris, de son implication et particulièrement de sa participation aux dernières élections", a conclu le candidat à la présidentielle.
Après trois années à la tête de l'Assemblée nationale constituante et l'adoption de la Constitution en janvier dernier, Mustapha Ben Jaâfar s'est porté candidat à la présidentielle qui devrait avoir lieu le 23 novembre prochain.
Après l'échec de son parti aux législatives, le leader d'Ettakatol qui avait formé une alliance avec Ennahdha et le CPR après les élections de 2011, a appelé les forces "social-démocrates" à se rassembler contre la bipolarisation de la scène politique représentée par Nida Tounes et Ennahdha. Cette initiative qui se poursuit en l'absence d'Al Joumhouri n'a toujours pas abouti au choix d'un candidat commun.
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