Le bilan d'une attaque contre un bus transportant des militaires dans le nord-ouest de la Tunisie s'est alourdi jeudi avec la mort d'un cinquième soldat qui a succombé à ses blessures, selon le ministère de la Défense.
Le soldat "avait des blessures graves et est décédé", a indiqué à l'AFP Rachid Bouhoula, responsable de la communication au ministère.
L'autocar qui transportait des militaires avait été visé mercredi par des tirs au niveau de Nebeur, entre les villes du Kef et de Jendouba, à quelques dizaines de kilomètres de la frontière algérienne.
Le porte-parole du ministère de la Défense, Belhassen Oueslati, avait évoqué "une opération terroriste". Dix soldats ont également été blessés.
"Deux hommes armés se sont approchés du bus qui transportait les militaires et ont tiré. Trois éléments d'escorte qui se trouvaient à bord du car ont riposté, les empêchant d'achever leur opération", avait affirmé M. Oueslati à l'AFP.
La Tunisie fait face depuis la révolution de janvier 2011 à la multiplication d'attaques armées ayant causé la mort de dizaines de policiers et militaires. Ces violences sont attribuées à des groupes jihadistes par les autorités.
Le soldat "avait des blessures graves et est décédé", a indiqué à l'AFP Rachid Bouhoula, responsable de la communication au ministère.
L'autocar qui transportait des militaires avait été visé mercredi par des tirs au niveau de Nebeur, entre les villes du Kef et de Jendouba, à quelques dizaines de kilomètres de la frontière algérienne.
Le porte-parole du ministère de la Défense, Belhassen Oueslati, avait évoqué "une opération terroriste". Dix soldats ont également été blessés.
"Deux hommes armés se sont approchés du bus qui transportait les militaires et ont tiré. Trois éléments d'escorte qui se trouvaient à bord du car ont riposté, les empêchant d'achever leur opération", avait affirmé M. Oueslati à l'AFP.
La Tunisie fait face depuis la révolution de janvier 2011 à la multiplication d'attaques armées ayant causé la mort de dizaines de policiers et militaires. Ces violences sont attribuées à des groupes jihadistes par les autorités.
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