Plusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées samedi à Tunis pour réclamer la libération de deux journalistes tunisiens portés disparus en Libye depuis le 8 septembre.
Sofiène Chourabi, un blogueur très actif durant la révolution tunisienne de 2011, et Nadhir Ktari, un photographe, ont disparu dans la région d'Ajdabiya, dans l'est de la Libye. Leur disparition est intervenue quelques jours après une première arrestation des deux hommes, qui travaillaient sans autorisation, par un groupe armé.
"Sauvez Sofiène et Nadhir", "Plus de 60 jours, zéro nouvelles", lisait-on sur des pancartes brandies par les manifestants, parmi lesquels se trouvaient de nombreux journalistes ainsi que des représentants de l'ONG Reporters sans frontières (RSF).
"Nous demandons aux autorités tunisiennes de s'activer davantage, de faire pression sur les autorités libyennes même si la situation là-bas, nous le savons, est chaotique", a dit à l'AFP le président du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Néji Bghouri.
Le ministre tunisien des Affaires étrangères Mongi Hamdi a récemment exhorté la Libye à retrouver "au plus vite" les deux journalistes, en lui faisant porter "l'entière responsabilité de (...) les libérer".
La Libye a peu à peu basculé dans le chaos après la chute du régime de Mouammar Kadhafi en octobre 2011. Les différentes milices l'ayant combattu font aujourd'hui la loi dans un pays en proie à une grave crise politique.
Sofiène Chourabi, un blogueur très actif durant la révolution tunisienne de 2011, et Nadhir Ktari, un photographe, ont disparu dans la région d'Ajdabiya, dans l'est de la Libye. Leur disparition est intervenue quelques jours après une première arrestation des deux hommes, qui travaillaient sans autorisation, par un groupe armé.
"Sauvez Sofiène et Nadhir", "Plus de 60 jours, zéro nouvelles", lisait-on sur des pancartes brandies par les manifestants, parmi lesquels se trouvaient de nombreux journalistes ainsi que des représentants de l'ONG Reporters sans frontières (RSF).
"Nous demandons aux autorités tunisiennes de s'activer davantage, de faire pression sur les autorités libyennes même si la situation là-bas, nous le savons, est chaotique", a dit à l'AFP le président du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Néji Bghouri.
Le ministre tunisien des Affaires étrangères Mongi Hamdi a récemment exhorté la Libye à retrouver "au plus vite" les deux journalistes, en lui faisant porter "l'entière responsabilité de (...) les libérer".
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