Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Houcine Abassi, est revenu samedi 15 novembre sur son agression par des inconnus, jeudi soir devant le siège de l'UGTT.
Cette dernière tentative d’agression vise à "déstabiliser la centrale syndicale et le pays et à mettre en échec la transition démocratique", a-t-il déclaré en marge des travaux du congrès ordinaire de la fédération générale des banques et des établissements financiers..
Jeudi 13 novembre, la voiture de Abassi avait été agressé par un groupe devant le siège de l'UGTT à la Place Mohamed Ali. Le contexte était tendu parune grève générale observée par les agents de la société des transports de Tunis (TRANSTU).
Tout en qualifiant cette agression de "lamentable" et de "désespérée", le secrétaire général a indiqué que "ces agissements ne font que renforcer l’unité de la centrale syndicale et son attachement à son rôle national pour la réussite de la transition démocratique, ainsi que, son rôle social pour la défense des droits des travailleur".
Abassi a, par ailleurs, rappelé que "l’affaire est entre les mains de la justice afin de connaître les assaillants et les instigateurs de cet incident".
L'UGTT assurait le 13 novembre qu'elle possédait des vidéos prouvant que "plusieurs figures connues pour leur appartenance aux ligues de la protection de la révolution" ont participé à l'agression.
L'organisation syndicale avait déjà accusé les ligues de protection de la révolution d'avoir agressé ses membres lors de l'attaque du 4 décembre 2012.
Cette dernière tentative d’agression vise à "déstabiliser la centrale syndicale et le pays et à mettre en échec la transition démocratique", a-t-il déclaré en marge des travaux du congrès ordinaire de la fédération générale des banques et des établissements financiers..
Jeudi 13 novembre, la voiture de Abassi avait été agressé par un groupe devant le siège de l'UGTT à la Place Mohamed Ali. Le contexte était tendu parune grève générale observée par les agents de la société des transports de Tunis (TRANSTU).
Tout en qualifiant cette agression de "lamentable" et de "désespérée", le secrétaire général a indiqué que "ces agissements ne font que renforcer l’unité de la centrale syndicale et son attachement à son rôle national pour la réussite de la transition démocratique, ainsi que, son rôle social pour la défense des droits des travailleur".
Abassi a, par ailleurs, rappelé que "l’affaire est entre les mains de la justice afin de connaître les assaillants et les instigateurs de cet incident".
L'UGTT assurait le 13 novembre qu'elle possédait des vidéos prouvant que "plusieurs figures connues pour leur appartenance aux ligues de la protection de la révolution" ont participé à l'agression.
L'organisation syndicale avait déjà accusé les ligues de protection de la révolution d'avoir agressé ses membres lors de l'attaque du 4 décembre 2012.
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