Le gouvernement grec a condamné l’attentat "terroriste" à la kalachnikov perpétré tôt vendredi matin contre l’ambassade d’Israël à Athènes dans la banlieue nord de la capitale, qui n’a pas fait de victimes.
Elle a souligné que le gouvernement était en train de lutter "d’une manière déterminante contre ces actions terroristes pour défendre la démocratie".
Des coups de feu ont été tirés vendredi vers 04H00 contre l’ambassade d’Israël provoquant des dégâts matériels légers, selon source policière.
La brigade antiterroriste, qui s’est chargée de l’enquête et s’est dépêchée sur place, a découvert 54 douilles de 7,62 mm de kalachnikov près de l’ambassade, a indiqué l’Agence de presse d’Athènes (Ana, semi-officielle).
Le ministre de l’Ordre public Vassilis Kikilias qui a effectué une visite à l’ambassade quelques heures après l’attentat a indiqué que "personne n’allait affecter les relations de la Grèce avec l’Israël", cité par l’Ana.
Selon les premières informations, le feu a probablement été ouvert depuis une moto à bord de laquelle se trouvaient deux personnes et qui passait devant l’ambassade située à l’angle d’une avenue centrale reliant le centre d’Athènes avec la banlieue nord.
Deux autres personnes sur une deuxième moto sont soupçonnées d’avoir participé à l’attaque.
L’incident est survenu deux jours après la mort d’un responsable palestinien lors d’une échauffourée avec des soldats israéliens en Cisjordanie.
De nombreuses manifestations ont lieu en Grèce contre la politique d’Israël en Cisjordanie et dans la bande de Gaza.
Selon les premières estimations de la brigade antiterroriste, l’attentat contre l’ambassade d’Israël a des similarités avec des attentats perpétrés par le groupe d’extrême gauche "Combattants populaires", apparu ces dernières années en Grèce.
Ce groupe avait revendiqué trois attentats jusqu’ici: un premier en janvier 2013, contre les bureaux du parti grec de droite de la Nouvelle-Démocratie à Athènes avant un deuxième contre l’ambassade d’Allemagne à Athènes en décembre de cette même année.
En janvier 2014, ce groupe avait revendiqué un attentat à la roquette contre une succursale des voitures dans la grande banlieue d’Athènes. Ces attentats n’ont fait que des dégâts matériels.
"Tout coup terroriste porte atteinte à la démocratie et le pays", a indiqué la porte-parole du gouvernement Sophia Voultepsi, citée dans un communiqué officiel.
Elle a souligné que le gouvernement était en train de lutter "d’une manière déterminante contre ces actions terroristes pour défendre la démocratie".
Des coups de feu ont été tirés vendredi vers 04H00 contre l’ambassade d’Israël provoquant des dégâts matériels légers, selon source policière.
La brigade antiterroriste, qui s’est chargée de l’enquête et s’est dépêchée sur place, a découvert 54 douilles de 7,62 mm de kalachnikov près de l’ambassade, a indiqué l’Agence de presse d’Athènes (Ana, semi-officielle).
Le ministre de l’Ordre public Vassilis Kikilias qui a effectué une visite à l’ambassade quelques heures après l’attentat a indiqué que "personne n’allait affecter les relations de la Grèce avec l’Israël", cité par l’Ana.
Selon les premières informations, le feu a probablement été ouvert depuis une moto à bord de laquelle se trouvaient deux personnes et qui passait devant l’ambassade située à l’angle d’une avenue centrale reliant le centre d’Athènes avec la banlieue nord.
Deux autres personnes sur une deuxième moto sont soupçonnées d’avoir participé à l’attaque.
L’incident est survenu deux jours après la mort d’un responsable palestinien lors d’une échauffourée avec des soldats israéliens en Cisjordanie.
De nombreuses manifestations ont lieu en Grèce contre la politique d’Israël en Cisjordanie et dans la bande de Gaza.
Selon les premières estimations de la brigade antiterroriste, l’attentat contre l’ambassade d’Israël a des similarités avec des attentats perpétrés par le groupe d’extrême gauche "Combattants populaires", apparu ces dernières années en Grèce.
Ce groupe avait revendiqué trois attentats jusqu’ici: un premier en janvier 2013, contre les bureaux du parti grec de droite de la Nouvelle-Démocratie à Athènes avant un deuxième contre l’ambassade d’Allemagne à Athènes en décembre de cette même année.
En janvier 2014, ce groupe avait revendiqué un attentat à la roquette contre une succursale des voitures dans la grande banlieue d’Athènes. Ces attentats n’ont fait que des dégâts matériels.
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