Scarlett Johansson en plein conflit israélo-palestinien.
L'actrice américaine, ambassadrice de la marque SodaStream, s'est retrouvée sous le feu des critiques qui l'accusent de cautionner "l'exploitation des travailleurs palestiniens" dans une "colonie israélienne illégale".
L'entreprise qui fabrique des machines à soda, a ouvert une usine en Cisjordanie dans les territoires occupés. Les partisans de la cause palestinienne accusent SodaStream de bafouer le droit des travailleurs locaux.
Cette campagne publicitaire met à mal l'image de Scarlett Johansson, reconnue pour défendre en parallèle les droits de l'homme au sein d'Oxfam, société à but philanthropique dont elle est une des égéries. Certains internautes ont réalisé des montages publiés sur Twitter:
"Scarlett Johansson apprécie un rafraîchissement dans le lounge réservé aux salariés."
"Conflit de soutiens"
"Scarlett Johansson: pas une avocate des droits de l'homme mais se fait passer pour avec Oxfam."
" 'SodaStream sera parfaitement adapté à ma cuisine'."
L'actrice s'est expliquée publiquement à ce sujet dans une tribune publiée par le HuffPost américain:
"Je n'ai jamais eu l'intention d'être le visage d'un mouvement social ou politique. Cela n'a rien à voir avec mon affiliation à SodaStream. J'ai voulu clarifier la situation. Je reste une supportrice de la coopération économique, des interactions sociales entre deux états démocratiques, Israël et Palestine, des voisins qui se soutiennent et travaillent main dans la main, recevant le même salaire, les mêmes avantages et les mêmes droits. C'est ce qui arrive dans l'usine Ma'ale Adumim chaque jour."
De son côté, Oxfam International s'est fendu d'un communiqué assurant "respecter l'indépendance de ses ambassadeurs" tout en critiquant "le business des colonies qui accentue la pauvreté et le déni des droits des communautés palestiniennes. Nous sommes opposés à tout échange commercial avec les colonies israéliennes."
L'actrice américaine, ambassadrice de la marque SodaStream, s'est retrouvée sous le feu des critiques qui l'accusent de cautionner "l'exploitation des travailleurs palestiniens" dans une "colonie israélienne illégale".
L'entreprise qui fabrique des machines à soda, a ouvert une usine en Cisjordanie dans les territoires occupés. Les partisans de la cause palestinienne accusent SodaStream de bafouer le droit des travailleurs locaux.
Cette campagne publicitaire met à mal l'image de Scarlett Johansson, reconnue pour défendre en parallèle les droits de l'homme au sein d'Oxfam, société à but philanthropique dont elle est une des égéries. Certains internautes ont réalisé des montages publiés sur Twitter:
Scarlett Johansson enjoys a refreshment in the employee lounge at #SodaStream's West Bank factory: pic.twitter.com/FRDns5ZwjL
— Abe Greenhouse (@grinhoyz) January 26, 2014
"Scarlett Johansson apprécie un rafraîchissement dans le lounge réservé aux salariés."
#ScarlettJohansson’s #SodaStream Endorsement Deal Conflicts w/ Charity Work http://t.co/cY4rxILPuv @nytimes @Oxfam pic.twitter.com/QUwmXQoDuR
— Maie ⭐ (@Maie_AD) January 26, 2014
"Conflit de soutiens"
Scarlett Johansson: not a human rights advocate, but she plays one for @Oxfam http://t.co/H6Zu2OWL5H #BDS #Sodastream pic.twitter.com/IWpMhBIiks
— Stephanie Westbrook (@stephinrome) January 25, 2014
"Scarlett Johansson: pas une avocate des droits de l'homme mais se fait passer pour avec Oxfam."
Scarlett Johansson "This #Sodastream is going to look so great in my kitchen" @Oxfam http://t.co/cH7FNkT12d #BDS pic.twitter.com/L9UClkEhD3
— Stephanie Westbrook (@stephinrome) January 25, 2014
" 'SodaStream sera parfaitement adapté à ma cuisine'."
L'actrice s'est expliquée publiquement à ce sujet dans une tribune publiée par le HuffPost américain:
"Je n'ai jamais eu l'intention d'être le visage d'un mouvement social ou politique. Cela n'a rien à voir avec mon affiliation à SodaStream. J'ai voulu clarifier la situation. Je reste une supportrice de la coopération économique, des interactions sociales entre deux états démocratiques, Israël et Palestine, des voisins qui se soutiennent et travaillent main dans la main, recevant le même salaire, les mêmes avantages et les mêmes droits. C'est ce qui arrive dans l'usine Ma'ale Adumim chaque jour."
De son côté, Oxfam International s'est fendu d'un communiqué assurant "respecter l'indépendance de ses ambassadeurs" tout en critiquant "le business des colonies qui accentue la pauvreté et le déni des droits des communautés palestiniennes. Nous sommes opposés à tout échange commercial avec les colonies israéliennes."
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