RÉSEAUX SOCIAUX - Votre meilleure amie s'est fait plaquer? La mère Michel a perdu son chat? En découvrant ces tristes nouvelles sur Facebook, vous n'avez aujourd'hui qu'un seul choix: "liker" ou passer votre chemin. Voilà pourtant des années que de nombreux utilisateurs du réseau social réclament un bouton permettant de répondre aux mauvaises nouvelles sans avoir à les "liker" (de l’anglais "to like", "aimer").
Souhaitant vous éviter de passer pour une brute insensible, la firme de Palo Alto plancherait donc sur un bouton "sympathize" ("compatir"), indiquent nos collègues du HuffPost américain.
Comment ça marche ? Les internautes qui publient un message sur Facebook peuvent déjà choisir d'indiquer leur humeur selon une liste présélectionnée par le réseau social ("triste", "déprimé", etc...). Ainsi, si votre meilleure amie annonce sa rupture en choisissant l'humeur "au fond du gouffre", vous ne pourrez plus "liker" mais seulement "compatir"...
Créé lors d'un "hackathon" Facebook (des sessions de codage et de programmation sur plusieurs jours), le bouton "sympathize" ne devrait cependant pas voir le jour dans l'immédiat. Les plus impatients et les plus sceptiques se souviendront toutefois que le bouton "like" a aussi été imaginé lors d'un "hackathon" avant d'arriver sur Facebook.
En revanche, un bouton "dislike" ne serait toujours pas à l'ordre du jour. Dommage.
Souhaitant vous éviter de passer pour une brute insensible, la firme de Palo Alto plancherait donc sur un bouton "sympathize" ("compatir"), indiquent nos collègues du HuffPost américain.
Comment ça marche ? Les internautes qui publient un message sur Facebook peuvent déjà choisir d'indiquer leur humeur selon une liste présélectionnée par le réseau social ("triste", "déprimé", etc...). Ainsi, si votre meilleure amie annonce sa rupture en choisissant l'humeur "au fond du gouffre", vous ne pourrez plus "liker" mais seulement "compatir"...
Créé lors d'un "hackathon" Facebook (des sessions de codage et de programmation sur plusieurs jours), le bouton "sympathize" ne devrait cependant pas voir le jour dans l'immédiat. Les plus impatients et les plus sceptiques se souviendront toutefois que le bouton "like" a aussi été imaginé lors d'un "hackathon" avant d'arriver sur Facebook.
En revanche, un bouton "dislike" ne serait toujours pas à l'ordre du jour. Dommage.
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