Un agent de la garde nationale et sept membres d'un groupe armé retranchés dans une maison de la grande banlieue de Tunis ont été tués lors d'une opération "antiterroriste", a indiqué mardi le ministère de l'Intérieur.
"Sept terroristes sont morts. Un agent de la Garde nationale a été tué et un autre blessé" lors des échanges de tirs dans la localité de Raoued, selon un dernier bilan du ministère communiqué à l'AFP. L'opération, lancée lundi, "est terminée".
Le ministère n'a dans l'immédiat apporté aucune précision sur l'identité des suspects ou de leur groupe, qui selon les tirs entendus par les témoins disposait d'armes automatiques.
Le siège de la maison des suspects à Raoued avait commencé lundi après-midi et des échanges de tirs nourris y avaient eu lieu jusqu'à la mi-journée mardi.
L'accès à Raoued était fermé mardi matin, la police bloquant les accès à une distance de quatre kilomètres de cette localité, selon un photographe de l'AFP.
Selon des témoins, à l'issue de l'opération, les policiers ont célébré en proclamant "victoire" aux abords de la maison assiégée.
La ville est située à seulement quelques kilomètres d'une longue plage où se trouvent de nombreux hôtels.
Depuis la révolution de début 2011, la Tunisie fait face à l'essor de groupuscules islamistes armés.
Les assassinats des opposants Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi l'an dernier ont ainsi été attribués par les autorités à Ansar Al Charia, un groupe accusé d'être lié à Al-Qaïda.
Une vingtaine de militaires et de membres des forces de l'ordre ont aussi été tués en 2013 lors d'affrontements ou par des bombes posées par des jihadistes présumés.
Les forces tunisiennes pourchassent depuis plus d'un an un groupe armé à la frontière algérienne. Et en octobre, deux attentats suicide ratés ont visé des sites touristiques.
Les derniers graves heurts remontent au 23 octobre, lorsque six gendarmes ont été tués dans des affrontements avec un groupe armé réfugié dans une maison de la région de Sidi Bouzid.
"Sept terroristes sont morts. Un agent de la Garde nationale a été tué et un autre blessé" lors des échanges de tirs dans la localité de Raoued, selon un dernier bilan du ministère communiqué à l'AFP. L'opération, lancée lundi, "est terminée".
Le ministère n'a dans l'immédiat apporté aucune précision sur l'identité des suspects ou de leur groupe, qui selon les tirs entendus par les témoins disposait d'armes automatiques.
Le siège de la maison des suspects à Raoued avait commencé lundi après-midi et des échanges de tirs nourris y avaient eu lieu jusqu'à la mi-journée mardi.
L'accès à Raoued était fermé mardi matin, la police bloquant les accès à une distance de quatre kilomètres de cette localité, selon un photographe de l'AFP.
Selon des témoins, à l'issue de l'opération, les policiers ont célébré en proclamant "victoire" aux abords de la maison assiégée.
La ville est située à seulement quelques kilomètres d'une longue plage où se trouvent de nombreux hôtels.
Lire: Fin des affrontements à Raoued: "Les fenêtres tremblaient à chaque détonation"
Depuis la révolution de début 2011, la Tunisie fait face à l'essor de groupuscules islamistes armés.
Les assassinats des opposants Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi l'an dernier ont ainsi été attribués par les autorités à Ansar Al Charia, un groupe accusé d'être lié à Al-Qaïda.
Une vingtaine de militaires et de membres des forces de l'ordre ont aussi été tués en 2013 lors d'affrontements ou par des bombes posées par des jihadistes présumés.
Les forces tunisiennes pourchassent depuis plus d'un an un groupe armé à la frontière algérienne. Et en octobre, deux attentats suicide ratés ont visé des sites touristiques.
Les derniers graves heurts remontent au 23 octobre, lorsque six gendarmes ont été tués dans des affrontements avec un groupe armé réfugié dans une maison de la région de Sidi Bouzid.
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