Depuis quelques jours, l'heure semble être au grand ménage dans certaines régions tunisiennes.
Panneaux publicitaires, constructions et étals anarchiques sont en effet la cible des agents municipaux à l'Ariana, Gafsa et Bizerte pour lutter contre ces installations illégales de plus en plus nombreuses.
Une brigade anti-anarchie
Dans le cadre de la campagne de lutte contre les constructions anarchiques dans le gouvernorat de l'Ariana, la brigade de la garde municipale a exécuté, en début de semaine, une quinzaine de décisions de démolition des constructions anarchiques dans les régions de Jardins d'El Menzah et El Mnihla, après en avoir accompli sept autres.
Ces décisions concernent des constructions bâties sur des biens publics, des terres agricoles et des domaines de l'Etat, situés notamment à la cité Errafaha de la délégation de M'nihla, au niveau de la route de Bizerte et aux jardins d'El Menzah.
Ces campagnes de lutte contre les constructions anarchiques dans le gouvernorat de l'Ariana ont déjà été ou seront également lancées dans les différentes délégations notamment à Sidi Thabet, à Raoued et Kalaat al Andalous, selon un programme d'intervention déterminé réalisé en coopération avec les autorités régionales.
La brigade de la garde municipale relevant du gouvernorat de l’Ariana est une structure récemment créée, qui a pour rôle de contrôler les infractions dans tous les domaines en collaboration avec les autorités concernées, la police municipale et les agents de contrôle régionaux.
La municipalité voit rouge
Samedi, la municipalité de l'Ariana avait également lancé une campagne de retrait des panneaux publicitaires pour les exploitants dont les contrats avaient expiré.
Ces panneaux, recouverts dans un premier temps de peinture rouge, devraient ensuite être retirés de "manière définitive si les agences publicitaires ne respectent pas le délais (...) qui leur est accordé pour s’acquitter de leurs dettes", a indiqué la sous-directrice de la municipalité de l’Ariana, Leïla Ayachi.
Panneaux publicitaires, constructions et étals anarchiques sont en effet la cible des agents municipaux à l'Ariana, Gafsa et Bizerte pour lutter contre ces installations illégales de plus en plus nombreuses.
LIRE AUSSI: Gafsa et Bizerte nettoient les étalages anarchiques. Mais ça risque d'être de courte durée.
Une brigade anti-anarchie
Dans le cadre de la campagne de lutte contre les constructions anarchiques dans le gouvernorat de l'Ariana, la brigade de la garde municipale a exécuté, en début de semaine, une quinzaine de décisions de démolition des constructions anarchiques dans les régions de Jardins d'El Menzah et El Mnihla, après en avoir accompli sept autres.
Ces décisions concernent des constructions bâties sur des biens publics, des terres agricoles et des domaines de l'Etat, situés notamment à la cité Errafaha de la délégation de M'nihla, au niveau de la route de Bizerte et aux jardins d'El Menzah.
Ces campagnes de lutte contre les constructions anarchiques dans le gouvernorat de l'Ariana ont déjà été ou seront également lancées dans les différentes délégations notamment à Sidi Thabet, à Raoued et Kalaat al Andalous, selon un programme d'intervention déterminé réalisé en coopération avec les autorités régionales.
"L’opération de démolition concerne principalement des clôtures sur des terrains agricoles et des constructions bâties sur la propriété publique", a expliqué un responsable de la brigade municipale à la TAP, ajoutant que "ces constructions ont été érigées sur la voie publique ou sans autorisation".
La brigade de la garde municipale relevant du gouvernorat de l’Ariana est une structure récemment créée, qui a pour rôle de contrôler les infractions dans tous les domaines en collaboration avec les autorités concernées, la police municipale et les agents de contrôle régionaux.
La municipalité voit rouge
Samedi, la municipalité de l'Ariana avait également lancé une campagne de retrait des panneaux publicitaires pour les exploitants dont les contrats avaient expiré.
Ces panneaux, recouverts dans un premier temps de peinture rouge, devraient ensuite être retirés de "manière définitive si les agences publicitaires ne respectent pas le délais (...) qui leur est accordé pour s’acquitter de leurs dettes", a indiqué la sous-directrice de la municipalité de l’Ariana, Leïla Ayachi.
LIRE AUSSI: "Mrigla!": Une plateforme tunisienne pour dénoncer et tenter de régler les différents problèmes locaux
Retrouvez les articles du HuffPost Maghreb sur notre page Facebook.