Le mouvement imminent qui se prépare dans le corps des gouverneurs comportera cette année une surprise de taille. D'après le secrétaire d'Etat aux affaires régionales et locales, Abderrazek Ben Khelifa, ces nouvelles nominations comprendront en effet trois militaires ayant une expérience dans le domaine du développement
Les gouvernorats concernés présentent des caractéristiques militaires exigeant une expertise bien déterminée, a-t-il dit dans une communication téléphonique lundi avec l'agence TAP.
Abderrazek Ben Khelifa a affirmé que le mouvement des gouverneurs qui doit intervenir "au plus tard demain mardi" ne concernera pas les anciens magistrats parmi les gouverneurs qui ont, selon lui, fait preuve de neutralité de par leur appartenance à un corps de métier nécessairement synonyme d'indépendance.
Le secrétaire d'Etat a rappelé que la révision des nominations s'inscrit dans le cadre de l'application des dispositions de la feuille de route qui avait appelé à la révision des nominations en rapport avec l'opération électorale.
Cette mesure ne vise pas un parti en particulier ou quelque partie que ce soit mais a été dictée par les exigences de l'étape qui commande "l'alternance et le changement", a-t-il assuré.
La révision des nominations est censée délivrer des signaux rassurants à toutes les parties concernées par l'opération électorale qu'ils soient des partis politiques ou des composantes de la société civile, a soutenu le secrétaire d'Etat.
Les critères retenus pour le choix des gouverneurs sont la neutralité, une expérience dans la gestion et l'administration de pas moins de 20 ans et l'exigence pour le candidat d'avoir rang de directeur ou de directeur général.
Les gouvernorats concernés présentent des caractéristiques militaires exigeant une expertise bien déterminée, a-t-il dit dans une communication téléphonique lundi avec l'agence TAP.
Abderrazek Ben Khelifa a affirmé que le mouvement des gouverneurs qui doit intervenir "au plus tard demain mardi" ne concernera pas les anciens magistrats parmi les gouverneurs qui ont, selon lui, fait preuve de neutralité de par leur appartenance à un corps de métier nécessairement synonyme d'indépendance.
Le secrétaire d'Etat a rappelé que la révision des nominations s'inscrit dans le cadre de l'application des dispositions de la feuille de route qui avait appelé à la révision des nominations en rapport avec l'opération électorale.
Cette mesure ne vise pas un parti en particulier ou quelque partie que ce soit mais a été dictée par les exigences de l'étape qui commande "l'alternance et le changement", a-t-il assuré.
La révision des nominations est censée délivrer des signaux rassurants à toutes les parties concernées par l'opération électorale qu'ils soient des partis politiques ou des composantes de la société civile, a soutenu le secrétaire d'Etat.
Les critères retenus pour le choix des gouverneurs sont la neutralité, une expérience dans la gestion et l'administration de pas moins de 20 ans et l'exigence pour le candidat d'avoir rang de directeur ou de directeur général.
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