Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a évoqué vendredi la possibilité que des colonies israéliennes de Cisjordanie passent sous la souveraineté d'un futur Etat palestinien en cas d'accord de paix.
"Il est clair qu'une partie des colonies ne seront pas inclues dans un accord, et je ferai tout mon possible pour que leur nombre soit le plus réduit possible", a affirmé M. Netanyahu à la télévision.
"Mais je n'abandonnerai personne, je ne laisserai aucun Israélien sans une protection israélienne", a ajouté le Premier ministre en réponse à une question sur la possibilité que des secteurs où sont installées certaines colonies fassent partie d'un futur Etat palestinien.
M. Netanyahu a refusé de donner d'autres détails sur ce dossier. "Je laisse tout cela pour la suite", s'est-il borné à affirmer.
Mais un accord de paix ne pourra intervenir que si "les Palestiniens reconnaissent Israël en tant qu'Etat du peuple juif", a-t-il de nouveau insisté, tout en rejetant également toute concession sur Jérusalem-est, annexée par Israël alors que les Palestiniens veulent en faire la capitale de leur futur Etat.
Décisions "difficiles"
Benjamin Netanyahu s'exprimait depuis les Etats-Unis, où il achevé vendredi sa visite.
Lundi, le Premier ministre israélien a rencontré le président américain Barack Obama, qui l'a appelé à prendre des décisions "difficiles". Mais M. Netanyahu lui a répondu que les Palestiniens n'avaient pas rempli leurs obligations dans le processus de paix.
Les pourparlers parrainées par les Etats-Unis, qui ont repris en juillet 2013, sont censés déboucher d'ici au 29 avril sur un "accord-cadre" traçant les grandes lignes d'un règlement définitif sur les questions dites de "statut final": les frontières, les colonies, la sécurité, le statut de Jérusalem et les réfugiés palestiniens.
Mais les discussions n'ont pas enregistré d'avancées concrètes et le secrétaire d'Etat américain John Kerry a fait savoir que les discussions se poursuivraient probablement au-delà de la date-butoir.
Selon des statistiques officielles israéliennes, le nombre de mises en chantier de logements dans les colonies juives de Cisjordanie occupée a plus que doublé en 2013 par rapport à 2012.
Barack Obama doit recevoir le 17 mars le président palestinien Mahmoud Abbas.
"Il est clair qu'une partie des colonies ne seront pas inclues dans un accord, et je ferai tout mon possible pour que leur nombre soit le plus réduit possible", a affirmé M. Netanyahu à la télévision.
"Mais je n'abandonnerai personne, je ne laisserai aucun Israélien sans une protection israélienne", a ajouté le Premier ministre en réponse à une question sur la possibilité que des secteurs où sont installées certaines colonies fassent partie d'un futur Etat palestinien.
M. Netanyahu a refusé de donner d'autres détails sur ce dossier. "Je laisse tout cela pour la suite", s'est-il borné à affirmer.
Mais un accord de paix ne pourra intervenir que si "les Palestiniens reconnaissent Israël en tant qu'Etat du peuple juif", a-t-il de nouveau insisté, tout en rejetant également toute concession sur Jérusalem-est, annexée par Israël alors que les Palestiniens veulent en faire la capitale de leur futur Etat.
Décisions "difficiles"
Benjamin Netanyahu s'exprimait depuis les Etats-Unis, où il achevé vendredi sa visite.
Lundi, le Premier ministre israélien a rencontré le président américain Barack Obama, qui l'a appelé à prendre des décisions "difficiles". Mais M. Netanyahu lui a répondu que les Palestiniens n'avaient pas rempli leurs obligations dans le processus de paix.
LIRE: "Israël a fait ce qu'il devait", pas les Palestiniens, déclare Netanyahou
Les pourparlers parrainées par les Etats-Unis, qui ont repris en juillet 2013, sont censés déboucher d'ici au 29 avril sur un "accord-cadre" traçant les grandes lignes d'un règlement définitif sur les questions dites de "statut final": les frontières, les colonies, la sécurité, le statut de Jérusalem et les réfugiés palestiniens.
Mais les discussions n'ont pas enregistré d'avancées concrètes et le secrétaire d'Etat américain John Kerry a fait savoir que les discussions se poursuivraient probablement au-delà de la date-butoir.
Selon des statistiques officielles israéliennes, le nombre de mises en chantier de logements dans les colonies juives de Cisjordanie occupée a plus que doublé en 2013 par rapport à 2012.
Barack Obama doit recevoir le 17 mars le président palestinien Mahmoud Abbas.
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