Moncef Marzouki s’est rendu dans une ferme agricole située dans la délégation de Gbollat (Béja) pour "partager avec la femme rurale sa célébration de la Journée mondiale de la femme". Des caméras l'ont suivi pour enregistré les moments de partage.
Dans la vidéo publiée par la présidence, Marzouki part à la rencontre d'une poignée de femmes occupées à travailler la terre. Après leur avoir serré la main, il fustige ceux qui "oublient c'est quoi la femme qui travaille comme vous". Marzouki est "venu les féliciter".
De prime abord, les femmes présentes semblent plus concernées par les déficiences d'infrastructures que par l'égalité homme-femme. Une première indique sans attendre: "Nous n'avons ni hôpital, ni école, pas même une école primaire".
Les femmes finissent tout de même par commenter leur condition: "Nous plantons les tomates, nous ramassons les olives, nous faisons tout". "Voici la preuve", déclame l'une d'entre elles en montrant ses mains.
Bras croisés, Moncef Marzouki est très concerné mais la scène est coupée avant qu'il ne puisse réagir.
La délégation va rendre visite à d'autres femmes. Pour cela, ils prennent la route. La caméra filmant par la fenêtre en montre la preuve.
Face à ses nouvelles interlocutrices, Marzouki fustige la pauvreté mais avoue ne pas avoir "de solution magique pour chacune" d'entre elles. "Petit à petit, si Dieu le veut, les choses vont s'améliorer".
"Maintenant, l'Etat arrive vers vous", déclare Marzouki. En effet, il est venu. "Nous avons fait cette révolution pour faire sortir ces localités de la pauvreté".
La voiture finit par repartir. La caméra filme par la fenêtre.
Dans la vidéo publiée par la présidence, Marzouki part à la rencontre d'une poignée de femmes occupées à travailler la terre. Après leur avoir serré la main, il fustige ceux qui "oublient c'est quoi la femme qui travaille comme vous". Marzouki est "venu les féliciter".
De prime abord, les femmes présentes semblent plus concernées par les déficiences d'infrastructures que par l'égalité homme-femme. Une première indique sans attendre: "Nous n'avons ni hôpital, ni école, pas même une école primaire".
Les femmes finissent tout de même par commenter leur condition: "Nous plantons les tomates, nous ramassons les olives, nous faisons tout". "Voici la preuve", déclame l'une d'entre elles en montrant ses mains.
Bras croisés, Moncef Marzouki est très concerné mais la scène est coupée avant qu'il ne puisse réagir.
La délégation va rendre visite à d'autres femmes. Pour cela, ils prennent la route. La caméra filmant par la fenêtre en montre la preuve.
LIRE AUSSI: Marzouki "prend des photos et "regarde des choses"
Face à ses nouvelles interlocutrices, Marzouki fustige la pauvreté mais avoue ne pas avoir "de solution magique pour chacune" d'entre elles. "Petit à petit, si Dieu le veut, les choses vont s'améliorer".
"Maintenant, l'Etat arrive vers vous", déclare Marzouki. En effet, il est venu. "Nous avons fait cette révolution pour faire sortir ces localités de la pauvreté".
La voiture finit par repartir. La caméra filme par la fenêtre.
A l'occasion de la Journée internationale de la femme, le HuffPost Maghreb a rédigé la plupart de ses articles employant exclusivement des mots au féminin. Voir ici les autres articles au féminin.
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