Le Japon souhaite coopérer "étroitement" avec l'Algérie pour le maintien de la stabilité dans la région du Sahel, a indiqué dimanche à Alger un ministre japonais qui a "félicité" le pays pour sa gestion de l'attaque du complexe gazier d'In Amenas.
"Nous avons fait une évaluation de la situation au Sahel, et le Japon souhaite coopérer étroitement avec l'Algérie pour le maintien de la paix et la stabilité dans cette région", a souligné Nobuo Kishi, ministre délégué auprès du ministre japonais des Affaires étrangères, chargé du Moyen-Orient, de l'Europe et de l'Amérique, cité par l'agence APS.
Le ministre japonais, dont c'est la première visite en Algérie, a tenu à féliciter l'Algérie suite à l'intervention des forces de sécurité lors de l'attaque jihadiste qui avait visé le complexe gazier d'In Amenas, selon la même source.
L'attaque de ce complexe situé 1.300 kilomètres au sud-est d'Alger en plein Sahara, qui avait eu lieu en janvier 2013, avait fait une quarantaine de victimes dont dix japonais de l'entreprise JGC ainsi qu'une trentaine de morts parmi le groupe terroriste.
Malgré le satisfécit exprimé par le représentant japonais, la façon dont les autorités algériennes ont géré cette prise d'otage géante a soulevé de nombreuses interrogations. Le quotidien algérien El Khabar avait révélé que les autorités savaient qu'une opération terroriste d'envergure se préparait tel que le démontre le télégramme reçu par le siège de la 4è région militaire de Ouargla qui évoque une "menace terroriste imminente".
Hormis le côté préventif, le refus de toute négociation avec les preneurs d'otages au profit d'une intervention musclée qui s'est révélée sanglante tant pour les terroristes que pour les otages a également soulevé des critiques. Face à cette incrimination, le porte parole du ministère des Affaires étrangères rétorque que "L'intervention des forces de sécurité algériennes était impérative pour sauver des centaines de vies humaines et pour protéger un site stratégique que les terroristes projetaient de faire exploser".
M. Kishi a précisé que "le Japon continuera à travailler et à coopérer avec l'Algérie".
"Nous avons fait une évaluation de la situation au Sahel, et le Japon souhaite coopérer étroitement avec l'Algérie pour le maintien de la paix et la stabilité dans cette région", a souligné Nobuo Kishi, ministre délégué auprès du ministre japonais des Affaires étrangères, chargé du Moyen-Orient, de l'Europe et de l'Amérique, cité par l'agence APS.
Le ministre japonais, dont c'est la première visite en Algérie, a tenu à féliciter l'Algérie suite à l'intervention des forces de sécurité lors de l'attaque jihadiste qui avait visé le complexe gazier d'In Amenas, selon la même source.
L'attaque de ce complexe situé 1.300 kilomètres au sud-est d'Alger en plein Sahara, qui avait eu lieu en janvier 2013, avait fait une quarantaine de victimes dont dix japonais de l'entreprise JGC ainsi qu'une trentaine de morts parmi le groupe terroriste.
Malgré le satisfécit exprimé par le représentant japonais, la façon dont les autorités algériennes ont géré cette prise d'otage géante a soulevé de nombreuses interrogations. Le quotidien algérien El Khabar avait révélé que les autorités savaient qu'une opération terroriste d'envergure se préparait tel que le démontre le télégramme reçu par le siège de la 4è région militaire de Ouargla qui évoque une "menace terroriste imminente".
Hormis le côté préventif, le refus de toute négociation avec les preneurs d'otages au profit d'une intervention musclée qui s'est révélée sanglante tant pour les terroristes que pour les otages a également soulevé des critiques. Face à cette incrimination, le porte parole du ministère des Affaires étrangères rétorque que "L'intervention des forces de sécurité algériennes était impérative pour sauver des centaines de vies humaines et pour protéger un site stratégique que les terroristes projetaient de faire exploser".
M. Kishi a précisé que "le Japon continuera à travailler et à coopérer avec l'Algérie".
Lire: Algérie: Un an après la prise d'otages d'In Amenas, le témoignage d'une rescapée
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