Hichem Korbosli, 17 ans, est un jeune tunisien très doué de ses mains.
En août 2012, cet étudiant de Kélibia s’est découvert une véritable passion pour le Papercraft, un art qui consiste à assembler plusieurs bouts de papiers pour construire des modèles plus ou moins grands.
"En tombant sur une page Facebook consacrée aux figurines en papier, l’idée m’a beaucoup plu et j’ai passé presque 5 heures sur Google et sur des sites pour comprendre les bases du Papercraft. J’ai aussi appris à utiliser un programme 3D, ce qui m’a beaucoup aidé", explique Hichem au HuffPost Maghreb.
Aujourd'hui, son impressionnante collection compte environ 70 pièces différentes, fruit d’un travail long et minutieux, fièrement exposées sur sa page "Papercraft Tunisia". Certaines ont même été vendues, nous apprend le jeune homme.
Photo: Facebook/PapercraftTunisie
Le temps passé sur chacun de ses modèles dépend du nombre de morceaux de papier à assembler: "une pièce avec 5 morceaux de papier peut être assemblée en maximum une heure. Mais d’autres modèles de plus de 50 éléments m’ont pris beaucoup plus de temps à découper et à coller. La grande mosquée par exemple m’a pris presque un mois, et j’ai passé plus de 42 heures sur ma moto Yamaha!"
Photo: Facebook/PapercraftTunisie
Photo: Facebook/PapercraftTunisie
Cette moto d’ailleurs, c’est sa plus grande fierté jusque là.
Plus tard, Hichem aimerait bien se servir de cette passion pour le 3D, et devenir, pourquoi pas, "développeur de jeux vidéos". En attendant, les idées et les coups de ciseaux fusent pour donner naissance à toutes sortes d’objets, de personnages, de bâtiments et de moyens de transport… à partir de simples bouts de papier.
En août 2012, cet étudiant de Kélibia s’est découvert une véritable passion pour le Papercraft, un art qui consiste à assembler plusieurs bouts de papiers pour construire des modèles plus ou moins grands.
"En tombant sur une page Facebook consacrée aux figurines en papier, l’idée m’a beaucoup plu et j’ai passé presque 5 heures sur Google et sur des sites pour comprendre les bases du Papercraft. J’ai aussi appris à utiliser un programme 3D, ce qui m’a beaucoup aidé", explique Hichem au HuffPost Maghreb.
Aujourd'hui, son impressionnante collection compte environ 70 pièces différentes, fruit d’un travail long et minutieux, fièrement exposées sur sa page "Papercraft Tunisia". Certaines ont même été vendues, nous apprend le jeune homme.
Le temps passé sur chacun de ses modèles dépend du nombre de morceaux de papier à assembler: "une pièce avec 5 morceaux de papier peut être assemblée en maximum une heure. Mais d’autres modèles de plus de 50 éléments m’ont pris beaucoup plus de temps à découper et à coller. La grande mosquée par exemple m’a pris presque un mois, et j’ai passé plus de 42 heures sur ma moto Yamaha!"
Cette moto d’ailleurs, c’est sa plus grande fierté jusque là.
"C’était comme un défi, car en me lançant dans le Papercraft, je m’étais dis qu’un jour j’arriverais à reproduire ce modèle. Ça a été très difficile parce qu’il y a beaucoup de détails."
Plus tard, Hichem aimerait bien se servir de cette passion pour le 3D, et devenir, pourquoi pas, "développeur de jeux vidéos". En attendant, les idées et les coups de ciseaux fusent pour donner naissance à toutes sortes d’objets, de personnages, de bâtiments et de moyens de transport… à partir de simples bouts de papier.
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