Les 10 raisons pour lesquelles Mehdi Jomâa est un bon choix pour la 3ème phase de transition:
Néanmoins, la tâche ne sera pas facile et ceci n'est pas un chèque en blanc. Réussir dans une première tâche ministérielle est une bonne base de départ mais ce n'est pas une garantie de réussite pour la suivante.
Mehdi Jomâa doit faire ses preuves dans ses nouvelles fonctions. Il doit travailler sur un plan clair, ambitieux et réaliste pour remonter la pente économiquement. Il doit garantir la sécurité et un environnement adéquat pour des élections transparentes et justes. Ceci ne peut pas se faire sans revoir les nominations partisanes qui ont été faites aux postes clés de l'Etat. La tâche ne sera pas facile surtout avec tous ces tiraillements politiques et le lourd héritage socio- économique de son prédécesseur.
- Il a démontré sa compétence professionnelle.
- Sa première mission au ministère de l'Industrie est plutôt réussie (à en juger par les professionnels qui l'ont côtoyé et ma propre expérience de député régional).
- Il a remplacé les nominations partisanes de son prédécesseur à la CPG et à la STEG par des compétences non partisanes.
- Il a annulé les autorisations partisanes et contraires à l'intérêt national de cimenteries délivrées par son prédécesseur. Il a aussi abrogé la subvention énergétique des cimenteries.
- Il a eu le courage de s'attaquer intelligemment au problème de la compensation de l'énergie sans porter atteinte au pouvoir d'achat des couches les plus démunies.
- Il est opérationnel tout de suite.
- Il n'a pas d'attaches politiques. Il a démontré son indépendance par rapport a Ennahdha et ne porte pas en lui les séquelles de la bagarre entre la gauche et les islamistes durant les années 80.
- Il est jeune et tourné vers le futur ( 51 ans).
- Les politiques ont besoin d'un nouveau chef de gouvernement pour tourner la page du gouvernement partisan d'Ennahdha et doivent avancer sur les autres points de la feuille de route.
- Le pays a besoin d'une période de stabilité pour gérer la crise économique.
Néanmoins, la tâche ne sera pas facile et ceci n'est pas un chèque en blanc. Réussir dans une première tâche ministérielle est une bonne base de départ mais ce n'est pas une garantie de réussite pour la suivante.
Mehdi Jomâa doit faire ses preuves dans ses nouvelles fonctions. Il doit travailler sur un plan clair, ambitieux et réaliste pour remonter la pente économiquement. Il doit garantir la sécurité et un environnement adéquat pour des élections transparentes et justes. Ceci ne peut pas se faire sans revoir les nominations partisanes qui ont été faites aux postes clés de l'Etat. La tâche ne sera pas facile surtout avec tous ces tiraillements politiques et le lourd héritage socio- économique de son prédécesseur.