Cette fois-ci, c’est (à priori) la bonne. Après avoir été maintes fois repoussée, la construction du Kingdom Tower débutera le 27 avril.
Dubaï, championne du "toujours plus haut, toujours plus grand, toujours plus cher", a du souci à se faire, puisque l’Arabie saoudite compte bien lui arracher un de ses records en érigeant sa propre tour la plus haute du monde.
1 kilomètre au-dessus du sol, rien que ça. A titre de comparaison, la tour Burj Khalifa à Dubaï culmine à 827 mètres.
Et juste histoire de vous donner un peu plus le vertige, ce nouveau gratte-ciel à Jeddah c’est aussi:
Photo: Facebook/Kingdom Tower
A toute épreuve
Le problème d’un bâtiment aussi haut, c’est sa résistance aux intempéries, aux risques naturels (type tremblement de terre) et au sel marin.
Pour faire face à la force du vent par exemple, cette tour avec vue sur la Mer Rouge changera de forme régulièrement.
"Parce qu’elle changera de forme tous les quelques étages, les rafales de vent la contourneront et ne seront pas aussi extrêmes qu’avec un gros bloc solide", a expliqué Gordon Gill au site Construction Weekly.
Les fondations, de 60 mètres de profondeur, devront résister au sel marin et à l’océan tout proche, et la société Advances Construction Technology Services (ACTS) teste différents types de béton pour choisir le meilleur et le plus résistant.
Ce projet, qui avait été proposé une première fois en 2011, verra-t-il enfin le jour? Le temps, c’est de l’argent… et l’Arabie saoudite n’en manque pas!
Dubaï, championne du "toujours plus haut, toujours plus grand, toujours plus cher", a du souci à se faire, puisque l’Arabie saoudite compte bien lui arracher un de ses records en érigeant sa propre tour la plus haute du monde.
1 kilomètre au-dessus du sol, rien que ça. A titre de comparaison, la tour Burj Khalifa à Dubaï culmine à 827 mètres.
Et juste histoire de vous donner un peu plus le vertige, ce nouveau gratte-ciel à Jeddah c’est aussi:
- 1,23 milliards de dollars,
- 200 étages (dont 160 habitables),
- 59 ascenseurs,
- et 63 mois de travaux.
A toute épreuve
Le problème d’un bâtiment aussi haut, c’est sa résistance aux intempéries, aux risques naturels (type tremblement de terre) et au sel marin.
Pour faire face à la force du vent par exemple, cette tour avec vue sur la Mer Rouge changera de forme régulièrement.
"Parce qu’elle changera de forme tous les quelques étages, les rafales de vent la contourneront et ne seront pas aussi extrêmes qu’avec un gros bloc solide", a expliqué Gordon Gill au site Construction Weekly.
Les fondations, de 60 mètres de profondeur, devront résister au sel marin et à l’océan tout proche, et la société Advances Construction Technology Services (ACTS) teste différents types de béton pour choisir le meilleur et le plus résistant.
Ce projet, qui avait été proposé une première fois en 2011, verra-t-il enfin le jour? Le temps, c’est de l’argent… et l’Arabie saoudite n’en manque pas!
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