La confédération des entreprises citoyennes de Tunisie (CONECT), l'Union des travailleurs de Tunisie (UTT) et la confédération générale tunisienne du travail (CGTT) ont appelé, dans une déclaration commune, à associer toutes les parties pour relever les défis de l'étape actuelle.
Les signataires demandent leur participation effective à toutes les concertations économiques et sociales et ce, en consécration du principe du pluralisme syndical.
Ils dénoncent l'exclusion dont ils font objet, appelant le gouvernement à veiller au respect total de la neutralité et à l'application de la loi.
Les organisations signataires rappellent que la commission nationale du dialogue social instituée par le code du travail
peut constituer un cadre propice pour garantir la représentation de l'ensemble des organisations concernées dans le cadre du respect de la loi et du pluralisme syndical.
Elles réitèrent leur appel en faveur de l'ouverture d'un dialogue global et responsable avec la participation de toutes les parties afin d'élaborer un plan d'action socioéconomique pour le pays.
Elles considèrent que le contrat social, dans sa version actuelle, ne répond pas aux attentes des tunisiens ni à celles des organisations syndicales et professionnelles et des composantes de la société civile.
La déclaration précise que l'actuel contrat social constitue "un handicap au développement d'un nouveau dialogue économique et social responsable au lieu qu'il soit un facteur d'unification et de mobilisation de toutes les énergies et des efforts de l'ensemble des organisations pour faire face à la situation fort délicate à laquelle le pays est confronté".
Les signataires demandent leur participation effective à toutes les concertations économiques et sociales et ce, en consécration du principe du pluralisme syndical.
Ils dénoncent l'exclusion dont ils font objet, appelant le gouvernement à veiller au respect total de la neutralité et à l'application de la loi.
Les organisations signataires rappellent que la commission nationale du dialogue social instituée par le code du travail
peut constituer un cadre propice pour garantir la représentation de l'ensemble des organisations concernées dans le cadre du respect de la loi et du pluralisme syndical.
Elles réitèrent leur appel en faveur de l'ouverture d'un dialogue global et responsable avec la participation de toutes les parties afin d'élaborer un plan d'action socioéconomique pour le pays.
Elles considèrent que le contrat social, dans sa version actuelle, ne répond pas aux attentes des tunisiens ni à celles des organisations syndicales et professionnelles et des composantes de la société civile.
La déclaration précise que l'actuel contrat social constitue "un handicap au développement d'un nouveau dialogue économique et social responsable au lieu qu'il soit un facteur d'unification et de mobilisation de toutes les énergies et des efforts de l'ensemble des organisations pour faire face à la situation fort délicate à laquelle le pays est confronté".
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