Plus qu'une semaine à tenir. La plus grande compétition de sport au monde va débuter le 12 juin dans le berceau du foot, le Brésil. Dans les cafés, les rues, les émissions, plus une seule journée ne se passe sans que ce sujet ne vienne sur la table. Chaque amoureux de foot est un sélectionneur, un consultant, un journaliste spécialisé. Ils ont leurs favoris, leur équipe préférée. Que ce soit sur les réseaux sociaux ou les avis donnés par les consultants, quatre équipes ressortent souvent du lot. Qui sont-elles? Et pourquoi tiennent-elles les faveurs de l'opinion générale?
Le Brésil, à la maison
Il est l’ultime favori de la compétition. Le soutien de son public et l'ambiance monstre qui attend les adversaires de la Seleçao sont des atouts que seul le pays organisateur peut avoir. Cela étant il serait réducteur de ne parler que de l'environnement. Les Brésiliens ont gagné "le dernier entraînement officiel de la coupe du Monde, la coupe des confédérations 2013". Ils ont une armada offensive exceptionnelle avec les Neymar (Barcelone), Hulk (Zenith), Oscar et Willian (Chelsea) mais aussi une solide assise défensive -souvent leur point faible d'habitude- avec la présence "du meilleur défenseur du monde" et capitaine charismatique du PSG et de l'équipe nationale Thiago SIlva. Il sera soutenu par David Luiz (Chelsea) et l'indéboulonnable Dani Alves (Barcelone). On pourra juste regretter les absences des anciens Kaka et Ronaldinho juger pas assez performant et sérieux (surtout pour le second). Bien que leur âge ne soit pas non plus un avantage.
L'Allemagne, la rigueur et le talent
Ce ne sont pas les constructeurs automobiles des marques allemandes qui voyageront à Rio mais une équipe à la rigueur aussi pointue. Forte de plus de quatre années de vie commune en sélection, le jeu huilé et fluide de cette équipe sera difficile à manier. L'esprit allemand avec les cadres Muller, Lahm, Schweinstenger, Neueur (tous évoluent au Bayern) ou encore Klose (Lazio) et Khedira (Real) et la technique brésilienne pour les Ozil (Arsenal), Gotze (Bayern), Reus (Dortmund) font de cette sélection une équipe très complète. On notera aussi que le contingent de joueurs évoluant au Bayern (7 en tout) est un net avantage pour la complicité sur le terrain. Seul bémol, le vieillissant et meilleur buteur de coupe du monde Miroslav Klose reste le seul pur avant centre d'expérience retenu dans la liste. Attention aux blessures.
L'Argentine, gagner chez l'ennemi juré
Et si "Les Gauchos" faisaient l'affront le plus violent et fort à leur historique frère ennemi!? La satisfaction de soulever la Coupe du monde serait doublement plus intense car elle le sera au Brésil. Pour y parvenir elle pourra compter -sauf blessures- sur son génie et capitaine Léo Messi. Le barcelonais sort d'une saison vierge de titre. Il aura connu la blessure mais aussi la critique des médias pour sa nonchalance et son inactivité criante sur le terrain. Il a réussi à faire moins de kilomètres que son coéquipier Pinto....gardien de but! Néanmoins, en sélection, il veut montrer l'exemple et donner cette coupe que le peuple attend depuis plus de 20 ans. La défense reste le souci majeur de cette équipe. Mais comme l'adage le dit "il faut marquer un but de plus que l'adversaire" et avec les Di Maria (Real Madrid), Agüero (Man. City), Higuain (Napoli), Palacio (Inter Milan) ou encore Lavezzi (PSG), l'attaque la plus riche de la coupe du monde pourra peut-être sauver sa propre défense.
L'Espagne, dernier baroud d'honneur
Casillas (Real Madrid), Xavi (Barcelone), Albiol (Napoli), Villa (Atletico), Xabi Alonso (Real Madrid) vivent peut-être la dernière phase finale d'une compétition officielle avec leur sélection. Ce qui fut l'une des équipes nationales les plus fortes de l'histoire du football tourne une page. Logiquement, comme souvent, un creux, un trou noir dans les résultats se fait ressentir. Del Bosque le sélectionneur le sait. Il était l’entraîneur de la fameuse équipe "galactique" de Zizou. Mais il pourra cette fois-ci compter sur une relève toute aussi talentueuse! Il ne lui manque plus que l'expérience et les victoires. Il a intégré entres autres Alba (Barcelone), Azpilicueta (Chelsea) en défense, Koke (Atletico) au milieu ou encore le naturalisé espagnol brésilien d'origine Diego Costa (Atletico). Tous ces jeunes joueurs seront toujours encadrés par les cadres qui sont encore dans la force de leur carrière comme Ramos (Real Madrid), Iniesta, Piqué, Busquets (Barcelone) ou encore David Silva (Man City). L'expérience et le talent ils l'ont, sont-ils rassasiés de titres, telle est la question.
Mourinho ou encore Platini voient le Brésil champion. On pourrait parler de l'Uruguay, des Pays-Bas, de l'Italie ou encore de la France comme potentiels outsiders. On peut juste espérer des buts, un jeu ouvert et toutes les équipes citées à leur meilleur niveau. L'Algérie dans tout ça? Sortir du groupe homogène dans lequel elle se trouve serait déjà une belle victoire.
Le Brésil, à la maison
Il est l’ultime favori de la compétition. Le soutien de son public et l'ambiance monstre qui attend les adversaires de la Seleçao sont des atouts que seul le pays organisateur peut avoir. Cela étant il serait réducteur de ne parler que de l'environnement. Les Brésiliens ont gagné "le dernier entraînement officiel de la coupe du Monde, la coupe des confédérations 2013". Ils ont une armada offensive exceptionnelle avec les Neymar (Barcelone), Hulk (Zenith), Oscar et Willian (Chelsea) mais aussi une solide assise défensive -souvent leur point faible d'habitude- avec la présence "du meilleur défenseur du monde" et capitaine charismatique du PSG et de l'équipe nationale Thiago SIlva. Il sera soutenu par David Luiz (Chelsea) et l'indéboulonnable Dani Alves (Barcelone). On pourra juste regretter les absences des anciens Kaka et Ronaldinho juger pas assez performant et sérieux (surtout pour le second). Bien que leur âge ne soit pas non plus un avantage.
L'Allemagne, la rigueur et le talent
Ce ne sont pas les constructeurs automobiles des marques allemandes qui voyageront à Rio mais une équipe à la rigueur aussi pointue. Forte de plus de quatre années de vie commune en sélection, le jeu huilé et fluide de cette équipe sera difficile à manier. L'esprit allemand avec les cadres Muller, Lahm, Schweinstenger, Neueur (tous évoluent au Bayern) ou encore Klose (Lazio) et Khedira (Real) et la technique brésilienne pour les Ozil (Arsenal), Gotze (Bayern), Reus (Dortmund) font de cette sélection une équipe très complète. On notera aussi que le contingent de joueurs évoluant au Bayern (7 en tout) est un net avantage pour la complicité sur le terrain. Seul bémol, le vieillissant et meilleur buteur de coupe du monde Miroslav Klose reste le seul pur avant centre d'expérience retenu dans la liste. Attention aux blessures.
L'Argentine, gagner chez l'ennemi juré
Et si "Les Gauchos" faisaient l'affront le plus violent et fort à leur historique frère ennemi!? La satisfaction de soulever la Coupe du monde serait doublement plus intense car elle le sera au Brésil. Pour y parvenir elle pourra compter -sauf blessures- sur son génie et capitaine Léo Messi. Le barcelonais sort d'une saison vierge de titre. Il aura connu la blessure mais aussi la critique des médias pour sa nonchalance et son inactivité criante sur le terrain. Il a réussi à faire moins de kilomètres que son coéquipier Pinto....gardien de but! Néanmoins, en sélection, il veut montrer l'exemple et donner cette coupe que le peuple attend depuis plus de 20 ans. La défense reste le souci majeur de cette équipe. Mais comme l'adage le dit "il faut marquer un but de plus que l'adversaire" et avec les Di Maria (Real Madrid), Agüero (Man. City), Higuain (Napoli), Palacio (Inter Milan) ou encore Lavezzi (PSG), l'attaque la plus riche de la coupe du monde pourra peut-être sauver sa propre défense.
L'Espagne, dernier baroud d'honneur
Casillas (Real Madrid), Xavi (Barcelone), Albiol (Napoli), Villa (Atletico), Xabi Alonso (Real Madrid) vivent peut-être la dernière phase finale d'une compétition officielle avec leur sélection. Ce qui fut l'une des équipes nationales les plus fortes de l'histoire du football tourne une page. Logiquement, comme souvent, un creux, un trou noir dans les résultats se fait ressentir. Del Bosque le sélectionneur le sait. Il était l’entraîneur de la fameuse équipe "galactique" de Zizou. Mais il pourra cette fois-ci compter sur une relève toute aussi talentueuse! Il ne lui manque plus que l'expérience et les victoires. Il a intégré entres autres Alba (Barcelone), Azpilicueta (Chelsea) en défense, Koke (Atletico) au milieu ou encore le naturalisé espagnol brésilien d'origine Diego Costa (Atletico). Tous ces jeunes joueurs seront toujours encadrés par les cadres qui sont encore dans la force de leur carrière comme Ramos (Real Madrid), Iniesta, Piqué, Busquets (Barcelone) ou encore David Silva (Man City). L'expérience et le talent ils l'ont, sont-ils rassasiés de titres, telle est la question.
Mourinho ou encore Platini voient le Brésil champion. On pourrait parler de l'Uruguay, des Pays-Bas, de l'Italie ou encore de la France comme potentiels outsiders. On peut juste espérer des buts, un jeu ouvert et toutes les équipes citées à leur meilleur niveau. L'Algérie dans tout ça? Sortir du groupe homogène dans lequel elle se trouve serait déjà une belle victoire.
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