Mariant le graffiti et la calligraphie arabe, un jeune artiste français d'origine tunisienne, eL Seed, réalise depuis une semaine une fresque monumentale sur l'une des façades de l'Institut du Monde Arabe (IMA) à Paris.
A l'invitation du président de l'IMA, Jack Lang, eL Seed, 32 ans, décore à la bombe l'un des pignons du bâtiment avec d'élégants "calligraffitis" bleus et argentés. La surface à couvrir est de 800 mètres carrés.
Les architectes de l'IMA Jean Nouvel et Architecture Studio ont donné leur feu vert pour que cette fresque soit réalisée sur leur bâtiment.
L'inauguration est prévue jeudi soir et la fresque n'est pas encore achevée. "Je vais travailler toute la nuit pour finir à temps", a déclaré mercredi à l'AFP eL Seed.
L'œuvre s'inspire d'une citation de Stendhal -"L'amour est le miracle des civilisations"- traduite en arabe, explique l'artiste. "Pour moi, elle résume l'esprit de l'IMA, qui est de rapprocher les cultures, d'être un pont entre Orient et Occident", dit-il.
Né en France en 1981 de parents tunisiens, eL Seed se présente comme un "calligraffiteur", pratiquant simultanément la calligraphie et le graffiti. Il a peint des murs à Paris, Montréal, Berlin, Tunis, Doha, Dubaï, Chicago, Los Angeles. Il a notamment décoré le minaret de Gadès, sa ville d'origine, en Tunisie.
A l'invitation du président de l'IMA, Jack Lang, eL Seed, 32 ans, décore à la bombe l'un des pignons du bâtiment avec d'élégants "calligraffitis" bleus et argentés. La surface à couvrir est de 800 mètres carrés.
Avec El Seed pour un projet de mur peint à l'IMA pic.twitter.com/HnDI25a4Jm
— jack lang (@jjjjlang) June 6, 2014
Les architectes de l'IMA Jean Nouvel et Architecture Studio ont donné leur feu vert pour que cette fresque soit réalisée sur leur bâtiment.
L'inauguration est prévue jeudi soir et la fresque n'est pas encore achevée. "Je vais travailler toute la nuit pour finir à temps", a déclaré mercredi à l'AFP eL Seed.
@elseedart le #graff avance, l'avez vous vu sur la façade est de l'#IMA ? @jjjjlang @AFP pic.twitter.com/bk89npdFvh
— Institut Monde Arabe (@imarabe) June 8, 2014
L'œuvre s'inspire d'une citation de Stendhal -"L'amour est le miracle des civilisations"- traduite en arabe, explique l'artiste. "Pour moi, elle résume l'esprit de l'IMA, qui est de rapprocher les cultures, d'être un pont entre Orient et Occident", dit-il.
Né en France en 1981 de parents tunisiens, eL Seed se présente comme un "calligraffiteur", pratiquant simultanément la calligraphie et le graffiti. Il a peint des murs à Paris, Montréal, Berlin, Tunis, Doha, Dubaï, Chicago, Los Angeles. Il a notamment décoré le minaret de Gadès, sa ville d'origine, en Tunisie.
LIRE AUSSI:
- Coupe du monde 2014: La vision d'un street artiste brésilien fait le tour du Web
- Street-art: Le graffeur égyptien Keiser transforme les rues du Caire en musée à ciel ouvert
Retrouvez les articles du HuffPost Maghreb sur notre page Facebook.