Aucune décision n'a été prise à l'issue de la séance marathon du Dialogue national qui s'est tenue ce mercredi.
Les participants au dialogue national étaient en réunion jusqu'à une heure tardive de la nuit, sans parvenir à un accord sur la concomitance ou la séparation et l'ordre des futures élections législatives et présidentielle. Ils ont décidé de reporter une nouvelle fois le Dialogue et de reprendre les pourparlers vendredi 13 juin.
A l'issue de la séance, la question de la concomitance ou non des deux élections, sur laquelle un accord avait pourtant été annoncé fin mai, était encore à l'ordre du jour, a déclaré aux médias le bâtonnier de l'Ordre des avocats, Fadhel Mahfoudh. Il a évoqué "une séance longue et épuisante", en indiquant que "les positions (des partis) sont mouvantes", rapporte l'AFP.
Le président d'Ennahdha, Rached Ghannouchi, avait déclaré samedi à l'AFP que si le "dialogue national" n'arrivait pas à trancher, la question serait renvoyée à l'Assemblée.
"C'est décevant et inquiétant", a dit jeudi à l'AFP Chafik Sarsar, le président de l'instance électorale (ISIE), qui a récemment annoncé l'ouverture de l'inscription sur les listes électorales le 23 juin. "Il y a urgence à fixer la date des élections", a-t-il ajouté.
Certains partis, dont Afek Tounes, ont annoncé le boycott de la séance de vendredi prochain pour protester contre ce qu'ils qualifient de "perte de temps".
Selon Samir Cheffi, secrétaire général adjoint de l'UGTT, la question de l'organisation des élections sera définitivement réglée dans une semaine au plus tard, en prévision du démarrage de l'inscription des électeurs le 23 juin.
La date du 23 juin avait également été avancée par Mustapha Ben Jaâfar, président de l'Assemblée, comme étant la date butoir pour fixer la date des élections.
Les participants au dialogue national étaient en réunion jusqu'à une heure tardive de la nuit, sans parvenir à un accord sur la concomitance ou la séparation et l'ordre des futures élections législatives et présidentielle. Ils ont décidé de reporter une nouvelle fois le Dialogue et de reprendre les pourparlers vendredi 13 juin.
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Le président d'Ennahdha, Rached Ghannouchi, avait déclaré samedi à l'AFP que si le "dialogue national" n'arrivait pas à trancher, la question serait renvoyée à l'Assemblée.
"C'est décevant et inquiétant", a dit jeudi à l'AFP Chafik Sarsar, le président de l'instance électorale (ISIE), qui a récemment annoncé l'ouverture de l'inscription sur les listes électorales le 23 juin. "Il y a urgence à fixer la date des élections", a-t-il ajouté.
Certains partis, dont Afek Tounes, ont annoncé le boycott de la séance de vendredi prochain pour protester contre ce qu'ils qualifient de "perte de temps".
Selon Samir Cheffi, secrétaire général adjoint de l'UGTT, la question de l'organisation des élections sera définitivement réglée dans une semaine au plus tard, en prévision du démarrage de l'inscription des électeurs le 23 juin.
La date du 23 juin avait également été avancée par Mustapha Ben Jaâfar, président de l'Assemblée, comme étant la date butoir pour fixer la date des élections.
LIRE AUSSI: La date limite pour fixer les élections serait le 23 juin, selon Mustapha Ben Jaâfar
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