Les partis politiques participant au Dialogue national ont convenu, vendredi, d'organiser les législatives avant la présidentielle.
Une majorité de deux tiers (12 partis contre 6) a voté pour la tenue des législatives avant la présidentielle.
En l'absence d'un consensus, les parrains du dialogue national avaient indiqué auparavant que la décision serait prise dans le cas où cette majorité des deux tiers était acquise.
Un long bras de fer avait jusque là opposé Ennahdha à Nida Tounes. Le parti islamiste privilégiait au départ la tenue d'élections concomitantes, avant d'accepter le principe d'élections séparées, à condition que les législatives soient organisées avant la présidentielle. Cette dernière position avait été soutenue par plusieurs partis politiques généralement opposés à Ennahdha, particulièrement Al Massar.
Au contraire, Nida Tounes, Ettakatol ou encore le Front populaire (malgré des dissensions) s'étaient positionnés en faveur de la tenue de l'élection présidentielle avant les législatives.
La veille, l'Instance électorale présidée par Chafik Sarsar avait fait part de son inquiétude, après un énième blocage, du fait de l'impossibilité de fixer la date d'élections qui doivent avoir lieu avant la fin de l'année, selon les dispositions transitoires de la Constitution.
Une majorité de deux tiers (12 partis contre 6) a voté pour la tenue des législatives avant la présidentielle.
En l'absence d'un consensus, les parrains du dialogue national avaient indiqué auparavant que la décision serait prise dans le cas où cette majorité des deux tiers était acquise.
Un long bras de fer avait jusque là opposé Ennahdha à Nida Tounes. Le parti islamiste privilégiait au départ la tenue d'élections concomitantes, avant d'accepter le principe d'élections séparées, à condition que les législatives soient organisées avant la présidentielle. Cette dernière position avait été soutenue par plusieurs partis politiques généralement opposés à Ennahdha, particulièrement Al Massar.
Au contraire, Nida Tounes, Ettakatol ou encore le Front populaire (malgré des dissensions) s'étaient positionnés en faveur de la tenue de l'élection présidentielle avant les législatives.
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